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   EGMR, 24.06.1982 - 7906/77   

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EGMR, 24.06.1982 - 7906/77 (https://dejure.org/1982,12900)
EGMR, Entscheidung vom 24.06.1982 - 7906/77 (https://dejure.org/1982,12900)
EGMR, Entscheidung vom 24. Juni 1982 - 7906/77 (https://dejure.org/1982,12900)
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Volltextveröffentlichungen (4)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    VAN DROOGENBROECK v. BELGIUM

    Art. 5, Art. 5 Abs. 1, Art. 5 Abs. 4, Art. 5 Abs. 1 Buchst. b, Art. 4, Art. 4 Abs. 2 MRK
    Violation of Art. 5-4 No violation of Art. 5-1 No violation of Art. 4 Just satisfaction reserved (englisch)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    VAN DROOGENBROECK c. BELGIQUE

    Art. 5, Art. 5 Abs. 1, Art. 5 Abs. 4, Art. 4, Art. 4 Abs. 2 MRK
    Violation de l'Art. 5-4 Non-violation de l'art. 5-1 Non-violation de l'art. 4 Satisfaction équitable réservée (französisch)

  • juris(Abodienst) (Volltext/Leitsatz)
  • juris (Volltext/Leitsatz)

Verfahrensgang

Papierfundstellen

  • Serie A Nr. 50
 
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Wird zitiert von ... (157)Neu Zitiert selbst (6)

  • EGMR, 05.11.1981 - 7215/75

    X v. THE UNITED KINGDOM

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    Quant au mot "après", il n'implique pas un simple ordre chronologique de succession entre "condamnation" et "détention": la seconde doit en outre résulter de la première, se produire, "à la suite et par suite" - ou "en vertu" - "de celle-ci" (arrêt X contre Royaume-Uni du 5 novembre 1981, série A no 46, p. 17, par. 39; arrêt Engel et autres du 8 juin 1976, série A no 22, p. 27, par.

    En pareil cas, un internement régulier à l'origine se muerait en une privation de liberté arbitraire et, dès lors, incompatible avec l'article 5 (art. 5) (voir notamment l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 19, par. 43).

    En réalité, la Cour l'a souligné récemment, ce passage "ne parle que de "la décision privative de liberté"; il ne vise pas la détention ultérieure dans la mesure où des questions nouvelles de légalité la concernant surgiraient après coup" (arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 22, par. 51).

    La Cour rappelle que l'étendue de l'obligation assumée par les Etats contractants en vertu du paragraphe 4 de l'article 5 (art. 5-4) "n'est pas forcément identique en toute circonstance, ni pour chaque sorte de privation de liberté" (arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 22, par. 52).

    1 (art. 5-1) (voir, mutatis mutandis, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 25, par. 57, à combiner avec l'arrêt Winterwerp précité, série A no 33, p. 17, par. 39, et pp. 19-20, par. 45).

    Or "une détention arbitraire ne peut jamais passer pour "régulière"" (lawful) au regard du paragraphe 1, indépendamment de sa compatibilité avec le droit interne (voir, parmi d'autres, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 19, par. 43).

    Partant, l'intéressé doit pouvoir saisir un "tribunal" compétent pour statuer sur l'existence ou l'absence de pareil manquement; il doit en avoir la faculté pendant sa "détention" - un certain temps après le début de celle-ci, puis à des intervalles raisonnables (voir, mutatis mutandis, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, pp. 22-23, par. 52) - ainsi qu'au moment d'un réinternement éventuel s'il se trouvait en liberté.

    Il n'en veut pas moins "un contrôle assez ample pour s'étendre à chacune des conditions indispensables, selon la Convention, à la "régularité" ou "légalité" de la détention d'un individu" en vertu du chapitre VII de la loi de 1964; il le commande d'autant plus que sauf la qualité même de récidiviste ou de délinquant d'habitude, les circonstances justifiant cette détention à l'origine peuvent changer au point de disparaître (voir, mutatis mutandis, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 25, par. 57-58).

    Elle n'est pas un "tribunal" au sens de la Convention, ne fournit pas aux internés qu'elle entend les garanties d'une procédure judiciaire et, dotée d'attributions purement consultatives, n'a compétence ni pour se prononcer sur la "légalité" de la "détention" des intéressés, ni a fortiori pour "ordonner" de relâcher ceux d'entre eux dont elle estimerait "illégale" la privation de liberté (voir notamment l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 23, par. 53, et p. 26, par. 61, ainsi que l'arrêt Irlande contre Royaume-Uni, du 18 janvier 1978, série A no 25, p. 76, par. 200).

    La Cour n'exclut en aucune manière que l'exercice combiné, parallèle ou successif (voir, mutatis mutandis, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 26, par. 60) d'un recours au juge des référés et d'une action "au principal" sur la base de l'article 5 par.

  • EGMR, 27.02.1980 - 6903/75

    DEWEER c. BELGIQUE

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    Au demeurant, par delà les apparences et le vocabulaire employé il faut s'attacher à cerner la réalité (voir notamment, mutatis mutandis, l'arrêt Deweer du 27 février 1980, série A no 35, p. 23, par. 44).

    D'une part, il s'agit pour l'instant de questions de droit interne belge indécises (voir, mutatis mutandis, l'arrêt Deweer précité, série A no 35, p. 28 in fine), d'une jurisprudence très récente, en train de se former et qui prête à controverse.

    En second lieu, comme le juge des référés ne statue qu""au provisoire" sa décision ne porte pas préjudice au principal (article 1039 du code judiciaire et, mutatis mutandis, l'arrêt Deweer précité, série A no 35, p. 28, a), in fine) et ne revêt pas l'autorité de la chose jugée.

  • EGMR, 24.10.1979 - 6301/73

    WINTERWERP v. THE NETHERLANDS

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    Par nature, la privation de liberté dont il s'agit paraît appeler la possibilité de semblable contrôle, à exercer à des intervalles raisonnables." (arrêts Winterwerp du 24 octobre 1979 et X contre Royaume-Uni, précité, série A no 33, p. 23, par. 55, et no 46, pp. 22-23, par. 52).

    1 (art. 5-1) (voir, mutatis mutandis, l'arrêt X contre Royaume-Uni, précité, série A no 46, p. 25, par. 57, à combiner avec l'arrêt Winterwerp précité, série A no 33, p. 17, par. 39, et pp. 19-20, par. 45).

  • EGMR, 08.06.1976 - 5100/71

    ENGEL AND OTHERS v. THE NETHERLANDS

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    Quant au mot "après", il n'implique pas un simple ordre chronologique de succession entre "condamnation" et "détention": la seconde doit en outre résulter de la première, se produire, "à la suite et par suite" - ou "en vertu" - "de celle-ci" (arrêt X contre Royaume-Uni du 5 novembre 1981, série A no 46, p. 17, par. 39; arrêt Engel et autres du 8 juin 1976, série A no 22, p. 27, par.

    4 (art. 5-4) se trouve incorporé à la décision; tel est le cas, par exemple, d'une "condamnation" à l'emprisonnement prononcée "par un tribunal compétent" (article 5 par. 1a) (art. 5-1-a) de la Convention)." (voir en outre l'arrêt Engel et autres, précité, série A no 22, p. 32, par.

  • EGMR, 06.11.1980 - 7654/76

    VAN OOSTERWIJCK c. BELGIQUE

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    La Cour a déjà eu l'occasion de souligner l'importance et les conséquences de l'incorporation de la Convention à l'ordre juridique interne (arrêt Irlande contre Royaume-Uni, précité, série A no 25, p. 91, par. 239) et de son applicabilité directe (arrêt De Wilde, Ooms et Versyp, précité, série A no 12, p. 46, par. 95; arrêt Van Oosterwijck du 6 novembre 1980, série A no 40, p. 16, par. 33).
  • EGMR, 06.11.1980 - 7367/76

    GUZZARDI v. ITALY

    Auszug aus EGMR, 24.06.1982 - 7906/77
    1a) (art. 5-1-a), il faut entendre, eu égard au texte français, à la fois une "déclaration de culpabilité", consécutive à "l'établissement légal d'une infraction" (arrêt Guzzardi du 6 novembre 1980, série A no 39, p. 37, par. 100), et l'infliction d'une peine ou autre mesure privatives de liberté.
  • EGMR, 17.12.2009 - 19359/04

    Rückwirkende Aufhebung der Höchstdauer der Sicherungsverwahrung (Verurteilung;

    Im Sinne von § 5 Abs. 1 Buchst. a ist der Begriff "Verurteilung" (englisch: "conviction") unter Berücksichtigung des französischen Textes ("condamnation") so zu verstehen, dass er sowohl eine Schuldfeststellung bezeichnet, nachdem das Vorliegen einer Straftat in der gesetzlich vorgesehenen Weise festgestellt wurde (s. Guzzardi, a.a.O., Rdnr. 100), als auch die Auferlegung einer Strafe oder einer anderen freiheitsentziehenden Maßnahme (siehe van Droogenbroeck ./. Belgien, 24. Juni 1982, Rdnr. 35, Serie A Band 50).
  • BVerfG, 20.06.2012 - 2 BvR 1048/11

    Vorbehaltene Sicherungsverwahrung ist - mit Ausnahme des Verstoßes gegen das

    Mit anderen Worten muss zwischen der Verurteilung und der in Rede stehenden Freiheitsentziehung ein hinreichender Kausalzusammenhang ("sufficient causal connection") bestehen (grundlegend EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien, Rn. 35; Urteil vom 17. Dezember 2009, Beschwerde-Nr. 19359/04, M. ./. Deutschland, Rn. 87 f.).

    (aa) (a) Der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte hat es im Hinblick auf den erforderlichen Kausalzusammenhang zwischen Verurteilung und Freiheitsentziehung grundsätzlich nicht beanstandet, dass nach belgischem Recht ein Straftäter neben seiner Haftstrafe "der Verfügungsgewalt der Regierung" unterstellt ("mise à la disposition du gouvernement") und die Entscheidung über die Art und Weise der Vollstreckung dieser Strafe nach Verbüßung der Haft seitens des Justizministers getroffen wurde (vgl. EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien; Urteil vom 13. Oktober 2009, Beschwerde-Nr. 27428/07, Schepper ./. Belgien, Rn. 35 ff.).

    Das verurteilende Gericht ordne die Freiheitsentziehung nicht an, sondern autorisiere sie (vgl. EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien, Rn. 38).

    Vielmehr kommt es darauf an, dass sich die Freiheitsentziehung in dem durch das zum Zeitpunkt der Verurteilung geltende Gesetz und die von einem zuständigen Gericht ausgesprochene Verurteilung gesteckten Rahmen hält (vgl. EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien, Rn. 39; ähnlich im Hinblick auf den Widerruf einer unter Bewährung erfolgten Entlassung eines Straftäters EGMR, Urteil vom 2. März 1987, Beschwerde-Nr. 9787/82, Weeks ./. Vereinigtes Königreich, Rn. 42 f., 49 f.; vgl. ferner Urteil vom 17. Dezember 2009, Beschwerde-Nr. 19359/04, M. ./. Deutschland, Rn. 99 f.).

    Die Voraussetzungen, unter denen die Sicherungsverwahrung letztlich angeordnet werden kann, liegen zudem nicht im freien Ermessen des Gerichts, sondern sind gesetzlich bestimmt (zu diesem Erfordernis vgl. EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien, Rn. 39).

    Unter diesen Umständen verwandelt sich eine Freiheitsentziehung, die zu Beginn rechtmäßig war, in eine willkürliche, mit Art. 5 EMRK nicht zu vereinbarende Freiheitsentziehung (vgl. EGMR, Urteil vom 24. Juni 1982, Beschwerde-Nr. 7906/77, Van Droogenbroeck ./. Belgien, Rn. 40; Urteil vom 27. Mai 1997, Beschwerde-Nr. 17391/90, Eriksen ./. Norwegen, Rn. 78; Urteil vom 17. Dezember 2009, Beschwerde-Nr. 19359/04, M. ./. Deutschland, Rn. 88).

  • EGMR, 01.12.2011 - 8080/08

    Verletzung des Rechts auf Freiheit und Sicherheit sowie der Versammlungsfreiheit

    Im Sinne von Artikel 5 Abs. 1 Buchstabe a ist der Begriff "Verurteilung" (englisch: "conviction") unter Berücksichtigung des französischen Textes ("condamnation") so zu verstehen, dass er sowohl eine Schuldfeststellung bezeichnet, nachdem das Vorliegen einer Straftat in der gesetzlich vorgesehenen Weise festgestellt wurde (s. Guzzardi, a.a.O., Rdnr. 100), als auch die Auferlegung einer Strafe oder einer anderen freiheitsentziehenden Maßnahme (siehe Van Droogenbroeck ./. Belgien, 24. Juni 1982, Rdnr. 35, Serie A Band 50; und M. ./. Deutschland, a.a.O., Rdnr. 87).
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