Rechtsprechung
   EGMR, 10.11.2004 - 67335/01   

Zitiervorschläge
https://dejure.org/2004,26486
EGMR, 10.11.2004 - 67335/01 (https://dejure.org/2004,26486)
EGMR, Entscheidung vom 10.11.2004 - 67335/01 (https://dejure.org/2004,26486)
EGMR, Entscheidung vom 10. November 2004 - 67335/01 (https://dejure.org/2004,26486)
Tipp: Um den Kurzlink (hier: https://dejure.org/2004,26486) schnell in die Zwischenablage zu kopieren, können Sie die Tastenkombination Alt + R verwenden - auch ohne diesen Bereich zu öffnen.

Volltextveröffentlichungen (3)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    ACHOUR v. FRANCE

    Art. 7, Art. 7 Abs. 1, Art. 41 MRK
    Violation of Art. 7 Pecuniary damage - claim dismissed Non-pecuniary damage - finding of violation sufficient Costs and expenses partial award - national proceedings Costs and expenses partial award - Convention proceedings (englisch)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    ACHOUR c. FRANCE

    Art. 7, Art. 7 Abs. 1, Art. 41 MRK
    Violation de l'art. 7 Dommage matériel - demande rejetée Préjudice moral - constat de violation suffisant Remboursement partiel frais et dépens - procédure nationale Remboursement partiel frais et dépens - procédure de la Convention (französisch)

  • Österreichisches Institut für Menschenrechte PDF

    (französisch)

Kurzfassungen/Presse

Verfahrensgang

 
Sortierung



Kontextvorschau





Hinweis: Klicken Sie auf das Sprechblasensymbol, um eine Kontextvorschau im Fließtext zu sehen. Um alle zu sehen, genügt ein Doppelklick.

Wird zitiert von ... (10)Neu Zitiert selbst (9)

  • EGMR, 06.11.1980 - 7367/76

    GUZZARDI v. ITALY

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    Eu égard au but de la Convention qui est de protéger des droits concrets et effectifs, elle pourra aussi prendre en considération le respect d'un équilibre entre l'intérêt général et les droits fondamentaux de l'individu ainsi que les conceptions prévalant de nos jours dans les Etats démocratiques (voir, notamment, Airey c. Irlande, arrêt du 9 octobre 1979, série A no 32, pp. 14-16, § 26 ; Guzzardi c. Italie, arrêt du 6 novembre 1980, série A no 39, pp. 34-35, § 95 ; Coëme et autres, précité).
  • EGMR, 09.10.1979 - 6289/73

    AIREY v. IRELAND

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    Eu égard au but de la Convention qui est de protéger des droits concrets et effectifs, elle pourra aussi prendre en considération le respect d'un équilibre entre l'intérêt général et les droits fondamentaux de l'individu ainsi que les conceptions prévalant de nos jours dans les Etats démocratiques (voir, notamment, Airey c. Irlande, arrêt du 9 octobre 1979, série A no 32, pp. 14-16, § 26 ; Guzzardi c. Italie, arrêt du 6 novembre 1980, série A no 39, pp. 34-35, § 95 ; Coëme et autres, précité).
  • EGMR, 25.05.1993 - 14307/88

    KOKKINAKIS c. GRÈCE

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    La Cour rappelle que l'article 7 de la Convention consacre, de manière générale, le principe de la légalité des délits et des peines (nullum crimen, nulla poena sine lege) et prohibe, en particulier, l'application rétroactive du droit pénal lorsqu'elle s'opère au détriment de l'accusé (Kokkinakis c. Grèce, arrêt du 25 mai 1993, série A no 260-A, p. 22, § 52).
  • EGMR, 09.02.1995 - 17440/90

    WELCH v. THE UNITED KINGDOM

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    La notion de « peine'possédant une portée autonome, la Cour doit, pour rendre efficace la protection offerte par l'article 7, demeurer libre d'aller au-delà des apparences et apprécier elle-même si une mesure particulière s'analyse au fond en une « peine'au sens de cette disposition (Welch c. Royaume-Uni, arrêt du 9 février 1995, série A no 307-A, p. 13, § 27).
  • EGMR, 08.06.1995 - 15917/89

    JAMIL v. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    En l'espèce, elle a effectivement conduit les juges du fond à appliquer une sanction plus sévère, la récidive permettant de doubler le maximum légal: le requérant a été condamné à une peine de douze années d'emprisonnement de par la prise en compte de la récidive, alors que le maximum légal de la peine encourue sans récidive était de dix années (voir, mutatis mutandis, Jamil c. France, arrêt du 8 juin 1995, série A no 317-B).
  • EGMR, 22.06.2000 - 32492/96

    COEME AND OTHERS v. BELGIUM

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    La solution retenue par la Cour dans l'affaire Coëme n'est donc pas transposable en l'espèce (Coëme et autres c. Belgique, nos 32492/96, 32547/96, 32548/96, 33209/96 et 33210/96, CEDH 2000-VII).
  • EGMR, 07.06.2001 - 39594/98

    KRESS c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    Pour ce qui est des frais et dépens devant la Cour, un requérant ne peut en obtenir le remboursement que dans la mesure où se trouvent établis leur réalité, leur nécessité et le caractère raisonnable de leur taux (voir, par exemple, Kress c. France [GC], no 39594/98, § 102, CEDH 2001).
  • EKMR, 09.04.1996 - 25399/94

    H. M.A. contre l'ESPAGNE

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    Il est toujours regrettable que le régime répressif se renforce, mais ce n'est pas en soi et nécessairement en violation de la Convention (voir en ce sens la décision de la Commission du 9 avril 1996 dans l'affaire H.M.A. c. Espagne, requête no 25399/94, Décisions et rapports 85-A, p. 117, et notamment le passage suivant:.
  • EGMR, 14.10.2003 - 53892/00

    LILLY FRANCE c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 10.11.2004 - 67335/01
    Lorsque la Cour constate une violation de la Convention, elle n'accorde au requérant le paiement des frais et dépens qu'il a exposés devant les juridictions nationales que dans la mesure où ils ont été engagés pour prévenir ou faire corriger par celles-ci ladite violation (voir, parmi beaucoup d'autres, Lilly France c. France, no 53892/00, 14 octobre 2003).
  • EGMR, 23.03.2016 - 47152/06

    BLOKHIN v. RUSSIA

    Processing a child offender through the criminal justice system on the sole basis of his status of being a juvenile delinquent, which lacks legal definition, cannot be considered compatible with due process and the principle of legality (see, mutatis mutandis, Achour v. France [GC], no. 67335/01, §§ 45-47, ECHR 2006-IV, relating to the legal classification of recidivism).

    It is also to be noted that ascribing a particular status to an individual in the criminal justice system may simply be a consequence of the commission of a series of acts by that individual, as for example in Achour v. France ([GC], no. 67335/01, ECHR 2006-IV), where the Court made an exception regarding the ad hominem principle (the applicant being a multi-recidivist) in view of the proven in rem series of acts for which the defendant had been convicted.

  • EGMR, 20.05.2014 - 11828/11

    NYKÄNEN v. FINLAND

    The High Contracting Parties are free to develop their criminal policy and legal system in accordance with their applicable international obligations, in particular the Convention and its Protocols (see mutatis mutandis Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 44, ECHR 2006-IV).
  • EGMR, 20.05.2014 - 37394/11

    GLANTZ v. FINLAND

    The High Contracting Parties are free to develop their criminal policy and legal system in accordance with their applicable international obligations, in particular the Convention and its Protocols (see mutatis mutandis Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 44, ECHR 2006-IV).
  • EGMR, 11.04.2013 - 20372/11

    VYERENTSOV v. UKRAINE

    While it prohibits in particular extending the scope of existing offences to acts which previously were not criminal offences, it also lays down the principle that the criminal law must not be extensively construed to an accused's detriment, for instance by analogy (see Coëme and Others v. Belgium, nos. 32492/96, 32547/96, 32548/96, 33209/96 and 33210/96, § 145, ECHR 2000-VII; Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 41, ECHR 2006-IV; and Kononov v. Latvia [GC], no. 36376/04, § 185, ECHR 2010).
  • EGMR, 17.01.2012 - 46846/08

    CHOREFTAKIS ET CHOREFTAKI c. GRECE

    Elle rappelle sur ce point que les questions relatives à l'existence, aux modalités d'exécution ainsi qu'aux justifications d'un régime de libération relèvent du pouvoir qu'ont les Etats membres de décider de leur politique criminelle (voir Achour c. France [GC], no 67335/01, § 44, CEDH 2006-IV).
  • EGMR, 25.06.2009 - 12157/05

    LIIVIK v. ESTONIA

    32492/96, 32547/96, 32548/96, 33209/96 and 33210/96, § 145, ECHR 2000-VII; Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 41, ECHR 2006-...; and Kafkaris v. Cyprus [GC], no. 21906/04, §§ 137-138, ECHR 2008-...).
  • EGMR, 10.10.2006 - 25389/05

    GEBREMEDHIN

    Pour qu'une décision ou une mesure favorable au requérant suffise à lui retirer la qualité de victime, il faut en principe que les autorités nationales aient reconnu, explicitement ou en substance, puis réparé la violation alléguée de la Convention (voir, parmi beaucoup d'autres, les arrêts Lüdi c. Suisse du 15 juin 1992, série A no 238, § 34, Amuur précité, même références, Dalban c. Roumanie [GC], no 28114/95, § 44, CEDH 1999-VI, Labita c. Italie [GC], no 26772/95, § 142, CEDH 2000-IV et Guisset précité, § 66, ainsi que les décisions Achour c. France du 10 novembre 2004, no 67335/01, CEDH 2004-... et Kaftailova précitée).
  • EGMR, 07.12.2006 - 70456/01

    SAYOUD c. FRANCE

    Se référant à la décision Achour c. France du 10 novembre 2004 (no 67335/01, CEDH 2004-...), il en déduit que le requérant ne peut plus se dire victime de la violation de l'article 8 qu'il allègue et qu'en conséquence, cette partie de la requête est irrecevable en application des articles 34 et 35 § 4 de la Convention.
  • EGMR, 13.03.2018 - 22329/13

    BADALYAN v. ARMENIA

    It also embodies, more generally, the principle that only the law can define a crime and prescribe a penalty (nullum crimen, nulla poena sine lege) and the principle that criminal law must not be extensively construed to the detriment of an accused, for instance by analogy (see Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 41, ECHR 2006-IV; Kononov v. Latvia [GC], no. 36376/04, § 185, ECHR 2010; Kokkinakis v. Greece, 25 May 1993, § 52, Series A no. 260-A; and Coëme and Others v. Belgium, nos.
  • EGMR, 13.12.2011 - 19870/05

    SÎRGHI v. ROMANIA

    The foregoing considerations are sufficient to enable the Court to conclude that the safety regulations, coupled with the customs developed and consistently applied in the work place, made for an accessible and foreseeable legislation which should have allowed the applicant to anticipate that his acts would make him criminally liable (see also, mutatis mutandis, Achour v. France [GC], no. 67335/01, § 41, ECHR 2006-IV).
Haben Sie eine Ergänzung? Oder haben Sie einen Fehler gefunden? Schreiben Sie uns.
Sie können auswählen (Maus oder Pfeiltasten):
(Liste aufgrund Ihrer bisherigen Eingabe)
Komplette Übersicht