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EGMR, 14.12.2004 - 42272/98 |
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Volltextveröffentlichung
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
POTIER c. FRANCE
Art. 6, Art. 6 Abs. 1 MRK
Partiellement recevable Partiellement irrecevable (französisch)
Verfahrensgang
- EGMR, 14.12.2004 - 42272/98
- EGMR, 08.11.2005 - 42272/98
Wird zitiert von ... (0) Neu Zitiert selbst (3)
- EGMR, 26.10.2000 - 30210/96
Das Recht auf Verfahrensbeschleunigung gemäß Art. 6 Abs. 1 S. 1 EMRK in …
Auszug aus EGMR, 14.12.2004 - 42272/98
La Cour rappelle également qu'il résulte tant de l'arrêt Kudla c. Pologne ([GC], no 30210/96, CEDH 2000-XI) que de la décision Mifsud c. France ([GC] no 57220/00, CEDH 2002-VIII) qu'en matière de «délai raisonnable» au sens de l'article 6 § 1, pour être effectif, un recours doit permettre soit de faire intervenir plus tôt la décision des juridictions saisies, soit de fournir aux justiciables une réparation adéquate pour les retards déjà accusés (Kudla, § 159, Mifsud, § 17, précités). - EGMR, 11.09.2002 - 57220/00
MIFSUD contre la FRANCE
Auszug aus EGMR, 14.12.2004 - 42272/98
La Cour rappelle également qu'il résulte tant de l'arrêt Kudla c. Pologne ([GC], no 30210/96, CEDH 2000-XI) que de la décision Mifsud c. France ([GC] no 57220/00, CEDH 2002-VIII) qu'en matière de «délai raisonnable» au sens de l'article 6 § 1, pour être effectif, un recours doit permettre soit de faire intervenir plus tôt la décision des juridictions saisies, soit de fournir aux justiciables une réparation adéquate pour les retards déjà accusés (Kudla, § 159, Mifsud, § 17, précités). - EGMR, 27.08.1992 - 12850/87
TOMASI c. FRANCE
Auszug aus EGMR, 14.12.2004 - 42272/98
A la lumière de la jurisprudence des organes de la Convention sur la recevabilité de requêtes émanant de parties civiles (voir, notamment, les arrêts Tomasi c. France du 27 août 1992, série A no 241-A, Acquaviva c. France du 21 novembre 1995, série A no 333-A, et Hamer c. France du 7 août 1996, Recueil des arrêts et décisions 1996-III), il expose tout d'abord que rien ne permet de considérer que la constitution de partie civile du 10 mai 1995 était bien fondée, le juge du fond ne s'étant pas encore prononcé.