Rechtsprechung
   EGMR, 15.10.2013 - 34529/10   

Zitiervorschläge
https://dejure.org/2013,27467
EGMR, 15.10.2013 - 34529/10 (https://dejure.org/2013,27467)
EGMR, Entscheidung vom 15.10.2013 - 34529/10 (https://dejure.org/2013,27467)
EGMR, Entscheidung vom 15. Oktober 2013 - 34529/10 (https://dejure.org/2013,27467)
Tipp: Um den Kurzlink (hier: https://dejure.org/2013,27467) schnell in die Zwischenablage zu kopieren, können Sie die Tastenkombination Alt + R verwenden - auch ohne diesen Bereich zu öffnen.

Volltextveröffentlichungen (2)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    GUTSANOVI v. BULGARIA [Extracts]

    Art. 3, Art. 5, Art. 5 Abs. 3, Art. 5 Abs. 5, Art. 6, Art. 6 Abs. 2, Art. 8, Art. 8 Abs. 1, Art. 8 Abs. 2, Art. 13, Art. 13+3, Art. 13+8, Art. 34, Art. 35, Art. 35 Abs. 1, Art. 41 MRK
    Preliminary objection joined to merits (Article 34 - Victim) Remainder inadmissible Violation of Article 3 - Prohibition of torture (Article 3 - Degrading treatment) (Substantive aspect) Violation of Article 5 - Right to liberty and security (Article 5-3 - Brought ...

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    GUTSANOVI c. BULGARIE

    Art. 3, Art. 5, Art. 5 Abs. 3, Art. 5 Abs. 5, Art. 6, Art. 6 Abs. 2, Art. 8, Art. 8 Abs. 1, Art. 8 Abs. 2, Art. 13, Art. 13+3, Art. 13+8, Art. 34, Art. 35, Art. 35 Abs. 1, Art. 41 MRK
    Exception préliminaire jointe au fond (Article 34 - Victime) Partiellement irrecevable Violation de l'article 3 - Interdiction de la torture (Article 3 - Traitement dégradant) (Volet matériel) Violation de l'article 5 - Droit à la liberté et à la sûreté (Article ...

Sonstiges (2)

 
Sortierung



Kontextvorschau





Hinweis: Klicken Sie auf das Sprechblasensymbol, um eine Kontextvorschau im Fließtext zu sehen. Um alle zu sehen, genügt ein Doppelklick.

Wird zitiert von ... (89)Neu Zitiert selbst (10)

  • EGMR, 13.11.2012 - 1/10

    CALDOVIC v. SERBIA AND OTHER APPLICATIONS

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    Le procès-verbal dressé le 31 mars 2010 mentionnait uniquement que M. Gutsanov avait été invité à livrer tout objet, document ou support informatique contenant des éléments relatifs à l'enquête pénale no 128/10 menée par la direction de la police à Varna (paragraphe 32 ci-dessus).
  • EGMR, 19.09.2006 - 23037/04

    MATIJASEVIC v. SERBIA

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour rappelle à cet effet qu'il existe une différence fondamentale entre le fait de dire que quelqu'un est simplement soupçonné d'avoir commis une infraction pénale et une déclaration avançant, en l'absence de condamnation définitive, que l'intéressé a commis l'infraction pénale pour laquelle il a été inculpé (Matijasevic c. Serbie, no 23037/04, § 48, CEDH 2006-X).
  • EGMR, 15.02.2011 - 56720/09

    HEINO v. FINLAND

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour rappelle qu'en vertu de sa jurisprudence constante les mots « prévue par la loi'impliquent qu'une ingérence aux droits garantis par l'article 8 doit reposer sur une base légale interne, que la législation en question doit être suffisamment accessible et prévisible et que celle-ci doit être compatible avec le principe de la prééminence du droit (voir parmi beaucoup d'autres Rotaru c. Roumanie [GC], no 28341/95, § 52, CEDH 2000-V ; Liberty et autres c. Royaume-Uni, no 58243/00, § 59, 1er juillet 2008 ; Heino c. Finlande, no 56720/09, § 36, 15 février 2011.
  • EGMR, 10.08.2006 - 56856/00

    YORDANOV v. BULGARIA

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    Se référant à l'arrêt Yordanov c. Bulgarie, no 56856/00, 10 août 2006, il affirme que les requérants ont omis d'introduire une action en dommages et intérêts en vertu de la loi sur la responsabilité de l'État pour faire valoir leur droit au respect de leur domicile.
  • EGMR, 01.07.2008 - 58243/00

    LIBERTY AND OTHERS v. THE UNITED KINGDOM

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour rappelle qu'en vertu de sa jurisprudence constante les mots « prévue par la loi'impliquent qu'une ingérence aux droits garantis par l'article 8 doit reposer sur une base légale interne, que la législation en question doit être suffisamment accessible et prévisible et que celle-ci doit être compatible avec le principe de la prééminence du droit (voir parmi beaucoup d'autres Rotaru c. Roumanie [GC], no 28341/95, § 52, CEDH 2000-V ; Liberty et autres c. Royaume-Uni, no 58243/00, § 59, 1er juillet 2008 ; Heino c. Finlande, no 56720/09, § 36, 15 février 2011.
  • EGMR, 27.11.2003 - 62902/00

    ZOLLMANN c. ROYAUME-UNI

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour rappelle ensuite qu'une procédure en diffamation est la voie de recours privilégiée pour contester tout propos imputant à autrui la responsabilité d'une infraction lorsqu'aucune procédure pénale n'est en cours ou n'a été ouverte (voir Zollmann c. Royaume-Uni (déc.), no 62902/00, CEDH 2003-XII).
  • EGMR, 26.03.2002 - 48297/99

    BUTKEVICIUS v. LITHUANIA

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    Par ailleurs, l'atteinte à la présomption d'innocence peut émaner non seulement d'un juge, mais également d'autres autorités publiques: le président du parlement (Butkevicius c. Lituanie, no 48297/99, §§ 49, 50, 53, CEDH 2002-II (extraits)), le procureur (voir l'arrêt Daktaras précité, § 44) ; le ministre de l'Intérieur ou les fonctionnaires de police (Allenet de Ribemont, précité, §§ 37 et 41).
  • EGMR, 12.07.2013 - 25424/09

    ALLEN c. ROYAUME-UNI

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour rappelle que la présomption d'innocence consacrée par le deuxième paragraphe de l'article 6 figure parmi les éléments d'un procès pénal équitable (voir entre autres Allen c. Royaume-Uni [GC], no 25424/09, § 93, 12 juillet 2013).
  • EGMR, 26.10.2006 - 56796/00

    DANOV v. BULGARIA

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    La Cour estime dès lors qu'en assignant le requérant à résidence sans avancer aucun motif particulier, les autorités ont failli à leur obligation de justifier son maintien en détention après le 25 mai 2010 par des raisons pertinentes et suffisantes (voir Danov c. Bulgarie, no 56796/00, § 86, 26 octobre 2006).
  • EGMR, 29.04.1999 - 25642/94

    Anforderungen an die unverzügliche Vorführung der festgenommenen Person i.S.d.

    Auszug aus EGMR, 15.10.2013 - 34529/10
    Si la célérité de pareille procédure doit s'apprécier dans chaque cas suivant les circonstances qui lui sont propres, il n'en reste pas moins qu'en interprétant et en appliquant la notion de promptitude, la Cour ne peut témoigner de souplesse qu'à un degré très faible (Aquilina c. Malte [GC], no 25642/94, § 48, CEDH 1999-III ; Brogan et autres c. Royaume-Uni, 29 novembre 1988, § 59, série À no 145-B).
  • EGMR, 07.09.2023 - 17053/20

    BAVCAR v. SLOVENIA

    The Court reiterates that what counts as regards the application of the above-mentioned provision of the Convention is the real meaning of the remarks made, not their literal form (see Lavents v. Latvia, no. 58442/00, § 126, 28 November 2002; Gutsanovi v. Bulgaria, no. 34529/10, § 191, ECHR 2013 (extracts); and Konstas, cited above, § 33).

    Secondly, the presumption of innocence may be infringed not only by a judge or court but also by other public authorities, such as police officials (see Allenet de Ribemont v. France, 10 February 1995, §§ 37 and 41, Series A no. 308), the President of the Republic (Pe?.a v. Croatia, no. 40523/08, § 149, 8 April 2010), the Prime Minister or Minister of the Interior (Gutsanovi v. Bulgaria, no. 34529/10, §§ 194-98, ECHR 2013 (extracts)), the President of the Parliament (Butkevicius v. Lithuania, no. 48297/99, § 53, ECHR 2002-II (extracts), and by the Minister of Justice (Konstas v. Greece, no. 53466/07, §§ 43 and 45, 24 May 2011).

    Admittedly, the presumption of innocence may be infringed not only by a judge or a court but also by other public authorities, such as police officials (Allenet de Ribemont v. France, 10 February 1995, §§ 37 and 41, Series A no. 308), the President of the Republic (Pe?.a v. Croatia, no. 40523/08, § 149, 8 April 2010), the Prime Minister or Minister of the Interior (Gutsanovi v. Bulgaria, no. 34529/10, §§ 194-98, ECHR 2013 (extracts)), the Minister of Justice (Konstas v. Greece, no. 53466/07, §§ 43 and 45, 24 May 2011), the President of the Parliament (Butkevicius v. Lithuania, no. 48297/99, § 53, ECHR 2002-II (extracts), a prosecutor (Daktaras v. Lithuania, no. 42095/98, § 42, ECHR 2000-X), and other prosecuting authorities (Khuzhin and Others v. Russia, no. 13470/02, § 96, 23 October 2008)[3].

  • EGMR, 10.11.2015 - 58500/10

    SLAVOV ET AUTRES c. BULGARIE

    Les événements entourant l'une de ces opérations, baptisée « Méduses ", se trouvent à l'origine de la présente requête et de la requête Gutsanovi c. Bulgarie (no 34529/10, 15 octobre 2013).

    Le droit et la jurisprudence internes pertinents en matière de protection de l'intégrité physique des individus au cours d'opérations policières, de perquisitions et de saisies, de préservation des preuves matérielles pendant les poursuites pénales, de placement en détention et de protection de la bonne réputation de l'individu se trouvent résumés dans l'arrêt Gutsanovi c. Bulgarie (no 34529/10, §§ 59-64 et 67-75, CEDH 2013).

    I am aware that a similar finding to the present one in relation to the use of similar language was taken by this Court in the case of Gutsanovi v. Bulgaria, no. 34529/10, ECHR 2013, which was concerned with the treatment of another suspect targeted by the very same police investigation (called Méduse) (see paragraph 8 of the present judgment).

  • EGMR, 18.02.2016 - 6091/06

    RYWIN c. POLOGNE

    L'atteinte à la présomption d'innocence peut émaner non seulement d'un juge, mais également d'autres autorités publiques: le chef de l'état (Pesa c. Croatie, no 40523/08, § 149, 8 avril 2000), le président du parlement (Butkevicius c. Lituanie, no 48297/99, §§ 49, 50, 53, CEDH 2002-II), le premier ministre (Gutsanovi c. Bulgarie, no 34529/10, §§ 194-196, CEDH 2013), le procureur (voir l'arrêt Daktaras, précité, § 44), le ministre de l'Intérieur ou les fonctionnaires de police (Allenet de Ribemont c. France, 10 février 1995, série A no 308, §§ 37 et 41) ainsi que le ministre de la Justice (Konstas c. Grèce, no 53466/07, § 16, 24 mai 2011).

    Nous trouvons qu'en l'espèce, les propos litigieux sont beaucoup plus explicites et plus graves que les termes employés, par exemple, par le ministre de l'Intérieur dans l'affaire Gutsanovi'(Gutsanovi c. Bulgarie, no 34529/10, §§ 200-201, CEDH 2013).

Haben Sie eine Ergänzung? Oder haben Sie einen Fehler gefunden? Schreiben Sie uns.
Sie können auswählen (Maus oder Pfeiltasten):
(Liste aufgrund Ihrer bisherigen Eingabe)
Komplette Übersicht