Rechtsprechung
   EuG, 03.05.2018 - T-47/16   

Zitiervorschläge
https://dejure.org/2018,10811
EuG, 03.05.2018 - T-47/16 (https://dejure.org/2018,10811)
EuG, Entscheidung vom 03.05.2018 - T-47/16 (https://dejure.org/2018,10811)
EuG, Entscheidung vom 03. Mai 2018 - T-47/16 (https://dejure.org/2018,10811)
Tipp: Um den Kurzlink (hier: https://dejure.org/2018,10811) schnell in die Zwischenablage zu kopieren, können Sie die Tastenkombination Alt + R verwenden - auch ohne diesen Bereich zu öffnen.

Volltextveröffentlichung

Kurzfassungen/Presse (3)

  • Europäischer Gerichtshof (Kurzinformation)

    Sigma Orionis / REA

    Vorläufiger Rechtsschutz - Schiedsklausel - Rahmenprogramm für Forschung und Innovation Horizont 2020 - Beschluss über die Aussetzung der Zahlungen und die Beendigung von Finanzhilfevereinbarungen infolge einer Finanzprüfung - Beträge, die die REA im Rahmen der ...

  • Europäischer Gerichtshof (Kurzinformation)

    Sigma Orionis / REA

    Schiedsklausel - Rahmenprogramm für Forschung und Innovation "Horizont 2020" - Einstellung der Zahlungen aus einer Finanzhilfevereinbarung infolge einer Finanzprüfung - Antrag auf Zahlung der von der REA im Rahmen der Durchführung einer Finanzhilfevereinbarung ...

  • Europäischer Gerichtshof (Kurzinformation)

    Sigma Orionis / REA

Sonstiges (2)

 
Sortierung



Kontextvorschau





Hinweis: Klicken Sie auf das Sprechblasensymbol, um eine Kontextvorschau im Fließtext zu sehen. Um alle zu sehen, genügt ein Doppelklick.

Wird zitiert von ... (4)Neu Zitiert selbst (14)

  • EuG, 22.05.2007 - T-500/04

    Kommission / IIC - Schiedsklausel - Zuständigkeit des Gerichts - Rückzahlung

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    Le bénéficiaire d'une subvention n'acquiert, de ce fait, aucun droit définitif au paiement intégral de la subvention s'il ne respecte pas les conditions auxquelles le soutien était subordonné (voir, en ce sens, arrêt du 22 mai 2007, Commission/IIC, T-500/04, EU:T:2007:146, point 93).

    Son obligation de respecter les conditions financières fixées constitue un engagement essentiel et, de ce fait, conditionne l'attribution de la subvention de l'Union (voir, en ce sens, arrêt du 22 mai 2007, Commission/IIC, T-500/04, EU:T:2007:146, point 94).

    Dès lors, il incombe à la requérante, en vertu de ses engagements contractuels, d'apporter la preuve de ses dépenses conformément aux exigences de preuve requises par l'article 6 des conventions de subvention relevant du H2020 (arrêts du 22 mai 2007, Commission/IIC, T-500/04, EU:T:2007:146, points 104 et 105 ; du 17 juin 2010, CEVA/Commission, T-428/07 et T-455/07, EU:T:2010:240, point 141, et du 5 octobre 2016, European Children's Fashion Association et Instituto de Economía Pública/EACEA, T-724/14, non publié, EU:T:2016:600, point 137).

  • EuG, 26.01.2017 - T-703/14

    Diktyo Amyntikon Viomichanion Net / Kommission

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    À cet égard, il convient de rappeler que, consacré par l'article 5, paragraphe 4, TUE, le principe de proportionnalité est un principe général de droit de l'Union requérant que les institutions de l'Union ne dépassent pas les limites de ce qui est approprié et nécessaire pour atteindre le but recherché dans les actions qu'elles entreprennent (arrêt du 26 janvier 2017, Diktyo Amyntikon Viomichanion Net/Commission, T-703/14, non publié, EU:T:2017:34, point 156).

    En effet, dans le contexte de l'exécution d'obligations contractuelles, le respect de ce principe participe à l'obligation plus générale des parties à un contrat de l'exécuter de bonne foi (arrêt du 26 janvier 2017, Diktyo Amyntikon Viomichanion Net/Commission, T-703/14, non publié, EU:T:2017:34, point 157).

  • EuGH, 26.02.2013 - C-399/11

    Die Übergabe einer Person an die Justizbehörden eines anderen Mitgliedstaats zur

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    À cet égard, il convient de relever que, selon la jurisprudence, cette disposition ne peut être interprétée comme permettant à un État membre de faire obstacle à l'application d'actes du droit de l'Union pleinement conformes à la charte, au motif qu'ils ne respecteraient pas les droits fondamentaux garantis par la Constitution de cet État (arrêt du 26 février 2013, Melloni, C-399/11, EU:C:2013:107, point 58).

    Comme l'a indiqué la Cour, cette jurisprudence découle du principe de primauté du droit de l'Union, qui est une caractéristique essentielle de l'ordre juridique de l'Union et en conséquence duquel le fait pour un État membre d'invoquer des dispositions de droit national, fussent-elles d'ordre constitutionnel, ne saurait affecter l'effet du droit de l'Union sur le territoire de cet État (voir arrêt du 26 février 2013, Melloni, C-399/11, EU:C:2013:107, point 59 et jurisprudence citée).

  • EuGH, 16.07.2009 - C-481/07

    SELEX Sistemi Integrati / Kommission

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    Par ailleurs, le Tribunal est le seul juge de la nécessité éventuelle de compléter les éléments d'information dont il dispose sur les affaires dont il est saisi en ordonnant des mesures d'instruction telles que celle demandée en l'espèce, lesquelles ne sauraient avoir pour objet de suppléer la carence de la partie requérante dans l'administration de la preuve (voir arrêt du 16 juillet 2009, SELEX Sistemi Integrati/Commission, C-481/07 P, non publié, EU:C:2009:461, point 44 et jurisprudence citée).
  • EuG, 17.06.2010 - T-428/07

    CEVA / Kommission - Schiedsklausel - Im Rahmen des spezifischen Programms für

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    Dès lors, il incombe à la requérante, en vertu de ses engagements contractuels, d'apporter la preuve de ses dépenses conformément aux exigences de preuve requises par l'article 6 des conventions de subvention relevant du H2020 (arrêts du 22 mai 2007, Commission/IIC, T-500/04, EU:T:2007:146, points 104 et 105 ; du 17 juin 2010, CEVA/Commission, T-428/07 et T-455/07, EU:T:2010:240, point 141, et du 5 octobre 2016, European Children's Fashion Association et Instituto de Economía Pública/EACEA, T-724/14, non publié, EU:T:2016:600, point 137).
  • EuG, 05.10.2016 - T-724/14

    European Children's Fashion Association und Instituto de Economía Pública / EACEA

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    Dès lors, il incombe à la requérante, en vertu de ses engagements contractuels, d'apporter la preuve de ses dépenses conformément aux exigences de preuve requises par l'article 6 des conventions de subvention relevant du H2020 (arrêts du 22 mai 2007, Commission/IIC, T-500/04, EU:T:2007:146, points 104 et 105 ; du 17 juin 2010, CEVA/Commission, T-428/07 et T-455/07, EU:T:2010:240, point 141, et du 5 octobre 2016, European Children's Fashion Association et Instituto de Economía Pública/EACEA, T-724/14, non publié, EU:T:2016:600, point 137).
  • EuG, 09.11.2016 - T-184/15

    Trivisio Prototyping / Kommission - Zuschuss - Sechstes Rahmenprogramm im Bereich

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    En l'espèce, alors que la requérante n'a pas établi les montants qui lui seraient dus, il n'y a pas lieu d'adopter la mesure d'instruction demandée (voir, en ce sens, arrêt du 9 novembre 2016, Trivisio Prototyping/Commission, T-184/15, non publié, EU:T:2016:652, point 102).
  • EuGH, 22.10.2002 - C-94/00

    Roquette Frères

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    La requérante fait valoir que, dans l'arrêt du 22 octobre 2002, Roquette Frères (C-94/00, EU:C:2002:603, point 48), la Cour a imposé à la Commission, dans le domaine de la concurrence, des obligations à respecter en matière de mandats judiciaires dans le cadre de procédures administratives.
  • EuGH, 21.09.1989 - 46/87

    Hoechst / Kommission

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    La requérante invoque l'arrêt du 21 septembre 1989, Hoechst/Commission (46/87 et 227/88, EU:C:1989:337, point 34), dans lequel la Cour aurait jugé que la Commission devait respecter les garanties procédurales prévues par le droit national lorsqu'elle effectuait des contrôles et des vérifications sur place.
  • EuGH, 17.12.1970 - 11/70

    Internationale Handelsgesellschaft mbH / Einfuhr- und Vorratsstelle für Getreide

    Auszug aus EuG, 03.05.2018 - T-47/16
    À cet égard, il y a lieu de relever que, selon une jurisprudence constante, les droits fondamentaux ont la nature de principes généraux dans l'ordre de juridique de l'Union (arrêts du 17 décembre 1970, 1nternationale Handelsgesellschaft, 11/70, EU:C:1970:114, point 4 ; du 13 mai 2014, Google Spain et Google, C-131/12, EU:C:2014:317, point 68, et du 3 juillet 2014, Kamino International Logistics et Datema Hellmann Worldwide Logistics, C-129/13 et C-130/13, EU:C:2014:2041, point 69).
  • EuGH, 21.12.2011 - C-366/10

    Die Richtlinie, mit der der Luftverkehr in das System für den Handel mit

  • EuGH, 13.05.2014 - C-131/12

    Der Betreiber einer Internetsuchmaschine ist bei personenbezogenen Daten, die auf

  • EuGH, 03.07.2014 - C-129/13

    Kamino International Logistics - Erhebung einer Zollschuld - Grundsatz der

  • EuG, 12.07.2016 - T-326/13

    Kommission / Thales développement und coopération

  • EuG, 24.02.2021 - T-606/18

    Universität Koblenz-Landau/ EACEA - Schiedsklausel - Tempus-Programme -

    Das Gericht hatte bereits Gelegenheit, zu entscheiden, dass die Charta, die Teil des Primärrechts ist, gemäß ihrem Art. 51 Abs. 1 ohne Ausnahme "für die Organe, Einrichtungen und sonstigen Stellen der Union unter Wahrung des Subsidiaritätsprinzips [gilt]" und dass demnach die Grundrechte dazu bestimmt sind, die Ausübung der den Unionsorganen übertragenen Zuständigkeiten zu lenken, und zwar auch in einem vertraglichen Rahmen (Urteile vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/Kommission, T-48/16, EU:T:2018:245, Rn. 101 und 102, sowie vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/REA, T-47/16, nicht veröffentlicht, EU:T:2018:247, Rn. 79 und 80; vgl. auch entsprechend Urteil vom 13. Mai 2020, Talanton/Kommission, T-195/18, nicht veröffentlicht, mit Rechtsmittel angefochten, EU:T:2020:194, Rn. 73).
  • EuG, 24.02.2021 - T-108/18

    Universität Koblenz-Landau/ EACEA - Schiedsklausel - Tempus-IV-Programme -

    Das Gericht hatte bereits Gelegenheit, zu entscheiden, dass die Charta, die Teil des Primärrechts ist, gemäß ihrem Art. 51 Abs. 1 ohne Ausnahme "für die Organe, Einrichtungen und sonstigen Stellen der Union unter Wahrung des Subsidiaritätsprinzips [gilt]" und dass demnach die Grundrechte dazu bestimmt sind, die Ausübung der den Unionsorganen übertragenen Zuständigkeiten zu lenken, und zwar auch in einem vertraglichen Rahmen (Urteile vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/Kommission, T-48/16, EU:T:2018:245, Rn. 101 und 102, sowie vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/REA, T-47/16, nicht veröffentlicht, EU:T:2018:247, Rn. 79 und 80; vgl. auch entsprechend Urteil vom 13. Mai 2020, Talanton/Kommission, T-195/18, nicht veröffentlicht, mit Rechtsmittel angefochten, EU:T:2020:194, Rn. 73).
  • EuG, 27.04.2022 - T-4/20

    Siec Badawcza Lukasiewicz - Port Polski Osrodek Rozwoju Technologii/ Kommission

    Es ist daran zu erinnern, dass das Gericht bereits festgestellt hat, dass die Charta, die Teil des Primärrechts ist, gemäß ihrem Art. 51 Abs. 1 ohne Ausnahme "für die Organe, Einrichtungen und sonstigen Stellen der Union unter Wahrung des Subsidiaritätsprinzips [gilt]" und dass die Grundrechte daher die Ausübung der den Unionsorganen übertragenen Zuständigkeiten, auch in einem vertraglichen Rahmen, regeln (Urteile vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/Kommission, T-48/16, EU:T:2018:245, Rn. 101 und 102, sowie vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/REA, T-47/16, nicht veröffentlicht, EU:T:2018:247, Rn. 79 und 80; vgl. auch entsprechend Urteil vom 13. Mai 2020, Talanton/Kommission, T-195/18, nicht veröffentlicht, EU:T:2020:194, Rn. 73).
  • EuG, 13.07.2022 - T-457/20

    VeriGraft/ Eismea

    So hatte das Gericht bereits Gelegenheit, zu entscheiden, dass die Charta, die Teil des Primärrechts ist, in ihrem Art. 51 Abs. 1 vorsieht, dass sie ohne Ausnahme "für die Organe, Einrichtungen und sonstigen Stellen der Union unter Wahrung des Subsidiaritätsprinzips [gilt]" und die Grundrechte daher dazu bestimmt sind, die Ausübung der den Unionsorganen übertragenen Zuständigkeiten, auch in einem vertraglichen Rahmen, zu regeln (vgl. in diesem Sinne Urteile vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/Kommission, T-48/16, EU:T:2018:245, Rn. 101 und 102, und vom 3. Mai 2018, Sigma Orionis/REA, T-47/16, nicht veröffentlicht, EU:T:2018:247, Rn. 79 und 80; vgl. entsprechend auch Urteil vom 13. Mai 2020, Talanton/Kommission, T-195/18, nicht veröffentlicht, EU:T:2020:194, Rn. 73).
Haben Sie eine Ergänzung? Oder haben Sie einen Fehler gefunden? Schreiben Sie uns.
Sie können auswählen (Maus oder Pfeiltasten):
(Liste aufgrund Ihrer bisherigen Eingabe)
Komplette Übersicht