Rechtsprechung
| EGMR, 06.04.2004 - 43662/98 |
Zitiervorschläge
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Volltextveröffentlichung
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SCORDINO et AUTRES (n° 3) contre l'ITALIE
Art. 6, Art. 6 Abs. 1, Art. 35, Art. 35 Abs. 1, Art. 34, Protokoll Nr. 1 Art. 1, Protokoll Nr. 1 Art. 1 Abs. 1 MRK
Recevable (französisch)
Verfahrensgang
- EGMR, 06.04.2004 - 43662/98
- EGMR, 17.05.2005 - 43662/98
- EGMR, 06.03.2007 - 43662/98
Wird zitiert von ... (0) Neu Zitiert selbst (3)
- EGMR, 10.05.2017 - 31524/96
BELVEDERE ALBERGHIERA SRL AND 106 OTHER CASES AGAINST ITALY
Auszug aus EGMR, 06.04.2004 - 43662/98
Un aperçu de cette jurisprudence dans les années '80-90 figure dans Belvedere Alberghiera srl c. Italie, no 31524/96, CEDH 2000-VI et Carbonara et Ventura c. Italie, no 24638/94, CEDH 2000-VI. .Sur le fond, se référant à la jurisprudence de la Cour et, en particulier, à l'arrêt Belvedere Alberghiera (Belvedere Alberghiera S.r.l. c. Italie, no 31524/96, CEDH 2000-VI), les requérants observent que l'application du principe de l'expropriation indirecte dans le cas d'espèce n'est pas conforme au principe de la prééminence du droit.
- EGMR, 16.07.1971 - 2614/65
RINGEISEN v. AUSTRIA
Auszug aus EGMR, 06.04.2004 - 43662/98
Compte tenu de ces éléments, et à supposer que les requérants étaient en l'occurrence tenus d'attendre l'issue de la procédure au sens de l'article 35 § 1 de la Convention, la Cour estime qu'elle doit tolérer que le dernier échelon du recours intenté par le requérant a été atteint après le dépôt de la requête, mais avant qu'elle ne soit appelée à se prononcer sur la recevabilité de la requête (Ringeisen c. Autriche, arrêt du 16 juillet 1971, série A no 13, § 91). - EGMR, 06.09.2001 - 69789/01
BRUSCO v. ITALY
Auszug aus EGMR, 06.04.2004 - 43662/98
La Cour rappelle avoir déjà constaté dans maintes décisions sur la recevabilité (Scordino c. Italie (déc.), no 36813/97, CEDH 2003 ; Brusco c. Italie (déc.), no 69789/01, CEDH 2001-IX ; Giacometti c. Italie (déc.), no 34969/97, CEDH 2001-XII) que le remède introduit par la loi Pinto est un recours que le requérant doit tenter avant que la Cour ne se prononce sur la recevabilité de la requête et ce, quelle que soit la date d'introduction de la requête devant la Cour.