Rechtsprechung
| EuG, 14.03.2022 - T-136/19 |
Volltextveröffentlichungen (3)
- Europäischer Gerichtshof
Bulgarian Energy Holding u.a./ Kommission
Beweiserhebung - Art. 103 Abs. 3 der Verfahrensordnung - Vorlage nicht vertraulicher Fassungen von Dokumenten
- Wolters Kluwer
Beweiserhebung; Art. 103 Abs. 3 der Verfahrensordnung; Vorlage nicht vertraulicher Fassungen von Dokumenten
- rechtsportal.de(Abodienst, kostenloses Probeabo)
Beweiserhebung - Art. 103 Abs. 3 der Verfahrensordnung - Vorlage nicht vertraulicher Fassungen von Dokumenten
Verfahrensgang
Wird zitiert von ... (2) Neu Zitiert selbst (2)
- EuG, 10.11.2021 - T-612/17
Klage von Google gegen Milliardenstrafe wegen Missbrauch von Marktmacht …
Auszug aus EuG, 14.03.2022 - T-136/19
In diesem Zusammenhang ist daran zu erinnern, dass die Vertraulichkeit eines Akteninhalts nicht gerechtfertigt ist, wenn es sich beispielsweise um Informationen handelt, die bereits öffentlich zugänglich sind oder zu denen die breite Öffentlichkeit oder bestimmte Fachkreise Zugang haben können, Informationen, die auch in anderen Passagen oder Schriftstücken der Akte enthalten sind, bei denen die Partei, die die Vertraulichkeit der betreffenden Information wahren möchte, es versäumt hat, einen entsprechenden Antrag zu stellen, Informationen, die nicht spezifisch oder präzise genug sind, um vertrauliche Daten offenzulegen, oder Informationen, die weitgehend aus anderen Informationen hervorgehen oder sich daraus ableiten lassen, die den Beteiligten rechtmäßig zugänglich sind (vgl. Beschluss vom 11. April 2019, Google und Alphabet/Kommission, T-612/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2019:250, Rn. 20 und die dort angeführte Rechtsprechung).Ebenso ist an dieser Stelle an die ständige Rechtsprechung zu erinnern, nach der Informationen, die vertraulich waren, aber fünf Jahre oder älter sind, aus diesem Grund als historisch anzusehen und den anderen Parteien bekannt zu geben sind, sofern nicht außergewöhnliche Umstände vorliegen, aus denen sich ergibt, dass diese Informationen trotz ihres Alters immer noch wesentliche Geheimnisse, z. B. industrieller oder gewerblicher Art, darstellen, deren Offenlegung einer Partei oder einem Dritten schaden würde (vgl. in diesem Sinne Beschluss vom 11. April 2019, Google und Alphabet/Kommission, T-612/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2019:250, Rn. 19 und die dort angeführte Rechtsprechung).
- EuG, 11.04.2019 - T-612/17
Google und Alphabet/ Kommission
Auszug aus EuG, 14.03.2022 - T-136/19
In diesem Zusammenhang ist daran zu erinnern, dass die Vertraulichkeit eines Akteninhalts nicht gerechtfertigt ist, wenn es sich beispielsweise um Informationen handelt, die bereits öffentlich zugänglich sind oder zu denen die breite Öffentlichkeit oder bestimmte Fachkreise Zugang haben können, Informationen, die auch in anderen Passagen oder Schriftstücken der Akte enthalten sind, bei denen die Partei, die die Vertraulichkeit der betreffenden Information wahren möchte, es versäumt hat, einen entsprechenden Antrag zu stellen, Informationen, die nicht spezifisch oder präzise genug sind, um vertrauliche Daten offenzulegen, oder Informationen, die weitgehend aus anderen Informationen hervorgehen oder sich daraus ableiten lassen, die den Beteiligten rechtmäßig zugänglich sind (vgl. Beschluss vom 11. April 2019, Google und Alphabet/Kommission, T-612/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2019:250, Rn. 20 und die dort angeführte Rechtsprechung).Ebenso ist an dieser Stelle an die ständige Rechtsprechung zu erinnern, nach der Informationen, die vertraulich waren, aber fünf Jahre oder älter sind, aus diesem Grund als historisch anzusehen und den anderen Parteien bekannt zu geben sind, sofern nicht außergewöhnliche Umstände vorliegen, aus denen sich ergibt, dass diese Informationen trotz ihres Alters immer noch wesentliche Geheimnisse, z. B. industrieller oder gewerblicher Art, darstellen, deren Offenlegung einer Partei oder einem Dritten schaden würde (vgl. in diesem Sinne Beschluss vom 11. April 2019, Google und Alphabet/Kommission, T-612/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2019:250, Rn. 19 und die dort angeführte Rechtsprechung).
- EuG, 25.10.2023 - T-136/19
Das Gericht erklärt den Beschluss der Kommission für nichtig, wonach die …
En second lieu, le rapport rédigé par les représentants externes des requérantes lors de leur accès à la salle d'information (ci-après le « rapport confidentiel de la salle d'information "), déposé à la suite de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), comportait un résumé du compte rendu détaillé d'une réunion que la Commission avait eue avec Overgas le 15 décembre 2011 (ci-après le « résumé de la réunion du 15 décembre 2011 ").Les représentants pouvaient utiliser les informations mises à leur disposition dans la salle d'information aux fins de la défense des requérantes, auxquelles, toutefois, ils ne pouvaient divulguer aucune information confidentielle (ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission, T-136/19, EU:T:2022:149, points 20 à 22).
Puis, le Tribunal a, dans le cadre de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), et conformément à l'article 103, paragraphes 1 et 2, du règlement de procédure, examiné les documents visés au point 1208 ci-dessus sur la base des éléments de droit et de fait invoqués par la Commission quant au caractère confidentiel desdits documents à l'égard des requérantes ainsi qu'à leur pertinence pour statuer sur le litige au vu, là où cela s'avérait nécessaire, de mettre cette confidentialité en balance avec les exigences du droit à une protection juridictionnelle effective, notamment avec le principe du contradictoire (ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission, T-136/19, EU:T:2022:149, points 5 à 10).
En particulier, le Tribunal a relevé que les représentants externes des requérantes avaient été autorisés par la Commission à communiquer à leurs clientes uniquement la version non confidentielle de leur rapport de la salle d'information (ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission, T-136/19, EU:T:2022:149, points 20 à 22).
Or, il ressort de l'analyse menée aux points 26 et 27 de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), que plusieurs éléments qui avaient été occultés dans le rapport non confidentiel de la salle d'information n'avaient pas, ou, en toute hypothèse, n'avaient plus, de caractère confidentiel.
Le Tribunal rappelle que, comme cela a été constaté aux points 51 à 57 de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), ce document est dépourvu de pertinence pour statuer sur le litige.
En deuxième lieu, ainsi qu'il ressort du point 49 de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), la version prétendument non confidentielle des observations de suivi de la réunion du 17 juin 2013 ne comportait aucune occultation.
En troisième lieu, à la suite de la vérification de la nature des informations figurant dans les observations de suivi portant sur les quatre premières réunions de 2010 à 2013, 1e Tribunal a octroyé aux requérantes un accès à des versions moins expurgées de ces dernières (ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission, T-136/19, EU:T:2022:149, points 34 à 48).
Dans leurs observations déposées le 27 avril 2022 (ci-après les « observations du 27 avril 2022 "), à la suite de la production des documents non confidentiels par la Commission en exécution de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), les requérantes ont apporté des précisions pour démontrer de manière concrète que l'accès à certains éléments du dossier, non divulgués pendant la procédure administrative, leur aurait permis de mieux assurer leur défense.
C'est à l'aune de ces arguments qu'il convient de procéder à l'analyse, notamment, des éléments de preuve qui ont été divulgués aux requérantes à la suite de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), et qui, en raison de leur provenance, de leur précision et des circonstances dans lesquelles Overgas les a fournis à la Commission, auraient permis aux requérantes d'étayer de manière significative ou de consolider certains arguments dans leur défense.
Dans leurs observations du 27 avril 2022, 1es requérantes soulignent l'existence d'une pluralité d'éléments qui ressortiraient des résumés des comptes rendus détaillés figurant dans le rapport confidentiel de la salle d'information, auxquels elles ont eu accès en exécution de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), qui étaient susceptibles de leur permettre de mieux assurer leur défense.
En premier lieu, les requérantes font valoir qu'il ressort des observations de suivi du 18 novembre 2010 dans leur version la moins expurgée, à laquelle elles ont eu accès en vertu de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), qu'Overgas avait reconnu que la demande résultant des prétendus accords pour l'approvisionnement de neuf clients industriels en 2011 s'élevait à plus de 260 millions de mètres cubes.
En second lieu, les requérantes font valoir qu'il ressort des observations de suivi du 10 juin 2011, dans une version moins confidentielle à laquelle elles ont eu accès en exécution de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), qu'Overgas a fondé sa plainte sur la prémisse trompeuse selon laquelle son entrée sur les marchés bulgares de fourniture de gaz aurait accru les alternatives d'approvisionnement en gaz, ce qui aurait obligé les fournisseurs à établir leurs prix sur des principes d'économie de marché.
- EuG, 20.05.2022 - T-136/19
Bulgarian Energy Holding u.a./ Kommission
En exécution de l'ordonnance du 14 mars 2022, Bulgarian Energy Holding e.a./Commission (T-136/19, EU:T:2022:149), la Commission a déposé six annexes non confidentielles à l'égard des requérantes.