Rechtsprechung
EGMR, 02.02.2010 - 21924/05 |
Volltextveröffentlichungen (3)
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SINAN ISIK c. TURQUIE
Art. 9, Art. 9 Abs. 1, Art. 9 Abs. 2, Art. 34, Art. 46, Art. 46 Abs. 2 MRK
Exception préliminaire jointe au fond (victime) Exception préliminaire rejetée Violation de l'art. 9 (französisch) - Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SINAN ISIK v. TURKEY
Art. 9, Art. 9 Abs. 1, Art. 9 Abs. 2, Art. 34, Art. 46, Art. 46 Abs. 2 MRK
Preliminary objection joined to merits (victim) Preliminary objection dismissed Violation of Art. 9 (englisch) - Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SINAN ISIK v. TURKEY - [Deutsche Übersetzung] by the Austrian Institute for Human Rights (ÖIM)
[DEU] Preliminary objection joined to merits (victim);Preliminary objection dismissed;Violation of Art. 9
Kurzfassungen/Presse
- RIS Bundeskanzleramt Österreich (Ausführliche Zusammenfassung)
Sonstiges
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte (Verfahrensmitteilung)
[FRE]
Verfahrensgang
- EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
- EGMR, 07.06.2018 - 21924/05
Wird zitiert von ... (3) Neu Zitiert selbst (8)
- EGMR, 25.05.1993 - 14307/88
KOKKINAKIS c. GRÈCE
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
Cette liberté implique, notamment, celle d'adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer (voir, entre autres, Kokkinakis c. Grèce, 25 mai 1993, § 31, série A no 260-A, et Buscarini et autres c. Saint-Marin [GC], no 24645/94, § 34, CEDH 1999-I). - EGMR, 09.10.1979 - 6289/73
AIREY v. IRELAND
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
La Cour considère que l'argument tiré du défaut de qualité de victime du requérant avancé par le Gouvernement soulève des questions étroitement liées à la substance du grief que le requérant fonde sur l'article 9 de la Convention, de sorte qu'il y a lieu de le joindre au fond (voir, mutatis mutandis, Airey c. Irlande, 9 octobre 1979, § 19, série A no 32). - EGMR, 21.01.1999 - 29183/95
FRESSOZ ET ROIRE c. FRANCE
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
La Cour rappelle que le fondement de la règle de l'épuisement des voies de recours internes énoncée à l'article 35 § 1 de la Convention consiste en ce qu'avant de saisir la Cour, le requérant doit avoir donné à l'État défendeur la faculté de remédier aux violations alléguées par des moyens internes, en utilisant les ressources judiciaires offertes par la législation nationale, pourvu qu'elles se révèlent efficaces et suffisantes (voir, entre autres, Fressoz et Roire c. France [GC], no 29183/95, § 37, CEDH 1999-I).
- EGMR, 13.08.1981 - 7601/76
YOUNG, JAMES ET WEBSTER c. ROYAUME-UNI
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
A interpréter l'article 9 comme autorisant n'importe quelle sorte de coercition visant à extérioriser sa religion ou conviction, on toucherait à la substance même de la liberté qu'il entend garantir (voir, mutatis mutandis, Young, James et Webster c. Royaume-Uni, 13 août 1981, § 52, série A no 44 ; voir aussi l'opinion dissidente d'un des juges de la Cour constitutionnelle, paragraphe 16 ci-dessus). - EGMR, 18.02.1999 - 24645/94
BUSCARINI ET AUTRES c. SAINT-MARIN
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
Cette liberté implique, notamment, celle d'adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer (voir, entre autres, Kokkinakis c. Grèce, 25 mai 1993, § 31, série A no 260-A, et Buscarini et autres c. Saint-Marin [GC], no 24645/94, § 34, CEDH 1999-I). - EGMR, 09.10.2007 - 1448/04
HASAN ET EYLEM ZENGIN c. TURQUIE
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
Sa pratique religieuse diffère de celle des écoles sunnites[1] de l'islam sur de nombreux points, tels que la prière, le jeûne ou le pèlerinage (Hasan et Eylem Zengin c. Turquie, no 1448/04, § 8, CEDH 2007-XI). - EGMR, 09.11.2016 - 19516/06
ALEXANDRIDIS CONTRE LA GRÈCE
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
Par conséquent, les autorités étatiques n'ont pas le droit d'intervenir dans le domaine de la liberté de conscience de l'individu et de rechercher ses convictions religieuses ni de l'obliger à manifester ses convictions concernant la divinité (Alexandridis c. Grèce, no 19516/06, § 38, CEDH 2008-....). - EGMR, 12.12.2002 - 1988/02
SOFIANOPOULOS, SPAÏDIOTIS, METALLINOS et KONTOGIANNIS contre la GRECE
Auszug aus EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
A cet égard, la Cour estime nécessaire de rappeler que dans l'affaire Sofianopoulos et autres c. Grèce ((déc.), nos 1977/02, 1988/02 et 1997/02, CEDH 2002-X), elle a considéré que la carte d'identité ne pouvait être considérée comme un moyen destiné à assurer aux fidèles, de quelques religion ou confession qu'ils soient, le droit d'exercer ou de manifester une religion.
- BVerwG, 09.12.2010 - 10 C 19.09
Asyl; Flüchtlingsanerkennung; Verfolgungshandlung; Verfolgungsgrund; Religion; …
Eine Verletzung der Religionsfreiheit hat er auch darin gesehen, dass die Staatsangehörigen der Türkei in ihrem staatlichen Ausweis die Religionszugehörigkeit anzugeben hatten, weil das mit der Freiheit unvereinbar sei, seinen Glauben nicht preisgeben zu müssen, selbst wenn dem Ausweisinhaber die Möglichkeit eröffnet wird, von jeglicher Eintragung in die Rubrik "Religion" abzusehen (Urteil vom 2. Februar 2010 - Nr. 21924/05, Sinan Isik/Türkei). - VG Augsburg, 24.01.2020 - Au 3 K 17.34406
Keine Gruppenverfolgung von Zugehörigen der Ahmadiyya-Glaubensgemeinschaft in …
Auch wenn man - wie möglicherweise der EGMR (vgl. EGMR, U.v. 2.2.2010 - Isik/Türkei, Nr. 21924/05) - davon ausgeht, dass bereits die Eintragung der Religionszugehörigkeit als solche in Pass- und Ausweisdokumenten eine Verletzung der Religionsfreiheit darstellt, liegt darin nicht automatisch auch eine schwerwiegende Verletzung der Menschenrechte im Sinne des § 3a Abs. 1 AsylG. - VG Augsburg, 10.01.2020 - Au 3 K 17.34072
Interne Schutzalternative für Ahmadis ohne überregionale Bekanntheit
Auch wenn man - wie möglicherweise der EGMR (vgl. EGMR, U.v. 2.2.2010 - Isik/Türkei, Nr. 21924/05) - davon ausgeht, dass bereits die Eintragung der Religionszugehörigkeit als solche in Pass- und Ausweisdokumenten eine Verletzung der Religionsfreiheit darstellt, liegt darin nicht automatisch auch eine schwerwiegende Verletzung der Menschenrechte im Sinne des § 3a Abs. 1 AsylG.
Rechtsprechung
EGMR, 07.06.2018 - 21924/05 |
Volltextveröffentlichungen (2)
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SINAN ISIK CONTRE LA TURQUIE
Informations fournies par le gouvernement concernant les mesures prises pour l'exécution de l'engagement auquel a été subordonnée la solution de l'affaire (französisch)
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
SINAN ISIK AGAINST TURKEY
Information given by the government concerning measures taken for the execution of the undertakings attached to the solution of the case (englisch)
Verfahrensgang
- EGMR, 02.02.2010 - 21924/05
- EGMR, 07.06.2018 - 21924/05
Wird zitiert von ... (3)
- EGMR, 16.09.2014 - 21163/11
MANSUR YALÇIN ET AUTRES c. TURQUIE
Elle réaffirme que le rôle des autorités ne consiste pas à prendre des mesures qui peuvent privilégier l'une des interprétations de la religion au détriment des autres ou qui visent à contraindre une communauté divisée ou une partie de celle-ci à se placer, contre son gré, sous une direction unique (Sinan Isık c. Turquie, no 21924/05, § 45, CEDH 2010, et Serif c. Grèce, no 38178/97, § 53, CEDH 1999-IX). - EGMR, 09.03.2023 - 36345/16
L.B. v. HUNGARY
Lorsqu'elle est amenée à examiner la compatibilité avec l'article 8 de la Convention d'une ingérence résultant de la publication de données à caractère personnel, la Cour tient compte de la nature de l'information divulguée et du point de savoir si celle-ci porte sur les aspects les plus intimes de l'individu, tels que l'état de santé (notamment la séropositivité, dans Z c. Finlande, 25 février 1997, § 96, Recueil des arrêts et décisions 1997-I, et le fait d'avoir subi un avortement, dans M.S. c. Suède, 27 août 1997, § 47, Recueil 1997-IV), le rapport à la religion (voir, dans le contexte de la liberté de religion, Sinan Isik c. Turquie, no 21924/05, §§ 42-53, CEDH 2010), ou encore l'orientation sexuelle (Lustig-Prean et Beckett c. Royaume-Uni, nos 31417/96 et 32377/96, § 82, 27 septembre 1999). - EGMR, 29.09.2020 - 58208/14
MARIS c. ROUMANIE
Elle note ensuite que l'enregistrement opéré dans son dossier n'était pas destiné à une consultation publique ou à un usage dans la vie quotidienne, mais qu'il n'était accessible qu'à l'administration pénitentiaire (voir, mutatis mutandis, Wasmuth c. Allemagne, no 12884/03, § 59, 17 février 2011, en ce qui concerne les cartes d'imposition sur le salaire ; et, a contrario, Sinan Isik c. Turquie, no 21924/05, § 50, CEDH 2010, et Sofianopoulos et autres, décision précitée, toutes les deux relatives aux cartes d'identité).