Rechtsprechung
RG, 24.02.1899 - 166/99 |
Zitiervorschläge
Tipp: Um den Kurzlink (hier: https://dejure.org/1899,411) schnell in die Zwischenablage zu kopieren, können Sie die Tastenkombination Alt + R verwenden - auch ohne diesen Bereich zu öffnen.
Volltextveröffentlichungen (2)
- Staatsbibliothek Berlin
Ist bei Erhebung einer Anklage auf Grund des § 184 St.G.B.'s, wenn Freisprechung des Angeklagten aus subjektiven Gründen erfolgt, aber der Charakter der Schrift als einer unzüchtigen objektiv festgestellt wird, die Unbrauchbarmachung der letzteren gemäß § 42 das. in ...
- juris(Abodienst) (Volltext/Leitsatz)
Papierfundstellen
- RGSt 32, 53
Wird zitiert von ... (4)
- OVG Sachsen-Anhalt, 19.12.2006 - 1 L 319/04
Vietnam: Exilpolitische Betätigung
Den Antrag des Klägers auf Zulassung der Berufung lehnte der Senat mit Beschluss vom 06.10.1999 - A 1 S 166/99 - ab. - EGMR, 06.05.2003 - 17060/02
COBAN (ASIM BABUSCUM) contre l'ESPAGNE
Résumant sa jurisprudence en la matière, le récent arrêt du Tribunal constitutionnel 166/99 du 27 novembre 1999 déclare qu'une mesure restrictive du droit au secret des communications n'est constitutionnellement légitime que si les conditions suivantes sont réunies: En premier lieu, la prévision légale doit être suffisamment précise (articles 18 § 3 de la Constitution et 579 § 3 du code de procédure pénale) ; en second lieu, l'interception doit être autorisée par l'autorité judiciaire et, en troisième lieu, le principe de proportionnalité doit être respecté strictement. - VG Berlin, 13.09.2022 - 13 K 58.21 Am 2. März 1999 verurteilte ihn das Amtsgericht Tiergarten - 270 Cs 166/99 - wegen Beleidigung zu einer Geldstrafe von 120 Tagessätzen.
- EGMR, 25.09.2006 - 17060/02
COBAN c. ESPAGNE
En reprenant brièvement sa jurisprudence en la matière, le récent arrêt du Tribunal constitutionnel 166/99 du 27 novembre 1999 déclare qu'une mesure restrictive du droit au secret des communications n'est constitutionnellement légitime que si les conditions suivantes sont réunies: en premier lieu, la prévision légale doit être suffisamment précise (articles 18 § 3 de la Constitution et 579 § 3 du code de procédure pénale) ; en second lieu, l'interception doit être autorisée par l'autorité judiciaire et, en troisième lieu, le principe de proportionnalité doit être respecté strictement.