Rechtsprechung
   EGMR, 14.09.2011 - 73947/01, 20335/04   

Zitiervorschläge
https://dejure.org/2011,89764
EGMR, 14.09.2011 - 73947/01, 20335/04 (https://dejure.org/2011,89764)
EGMR, Entscheidung vom 14.09.2011 - 73947/01, 20335/04 (https://dejure.org/2011,89764)
EGMR, Entscheidung vom 14. September 2011 - 73947/01, 20335/04 (https://dejure.org/2011,89764)
Tipp: Um den Kurzlink (hier: https://dejure.org/2011,89764) schnell in die Zwischenablage zu kopieren, können Sie die Tastenkombination Alt + R verwenden - auch ohne diesen Bereich zu öffnen.

Volltextveröffentlichungen (2)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    AFFAIRES ZERVUDACKI ET X CONTRE LA FRANCE

    Informations fournies par le gouvernement concernant les mesures prises permettant d'éviter de nouvelles violations. Versement des sommes prévues dans l'arrêt (französisch)

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    CASES OF ZERVUDACKI AND X AGAINST FRANCE

    Information given by the government concerning measures taken to prevent new violations. Payment of the sums provided for in the judgment (englisch)

Verfahrensgang

 
Sortierung



Kontextvorschau





Hinweis: Klicken Sie auf das Sprechblasensymbol, um eine Kontextvorschau im Fließtext zu sehen. Um alle zu sehen, genügt ein Doppelklick.

Wird zitiert von ... (7)

  • EGMR, 23.07.2013 - 41872/10

    M.A. c. CHYPRE

    Il est donc essentiel que le droit interne définisse clairement les conditions de détention et que la loi soit prévisible dans son application (Zervudacki c. France, no 73947/01, § 43, 27 juillet 2006, et Baranowski c. Pologne[2], §§ 50-52 (...)).
  • EGMR, 01.02.2024 - 43437/22

    RIAZ c. FRANCE

    Dans les arrêts Zervudacki c. France (no 73947/01, 27 juillet 2006), X c. France (no 20335/04, 20 novembre 2008), et Corbet et autres c. France (nos 7494/11 et 2 autres, 19 mars 2015), la Cour a constaté des violations de l'article 5 § 1 c) au motif qu'à la date des faits litigieux, aucune disposition du droit français ne réglementait la détention d'une personne entre le moment de la fin de sa garde à vue et celui de sa présentation devant le juge d'instruction.
  • EGMR, 19.03.2015 - 7494/11

    CORBET ET AUTRES c. FRANCE

    Telle est en effet la conclusion à laquelle la Cour est parvenue dans une affaire similaire, après avoir constaté qu'aucune disposition de droit interne ne réglementait la détention d'une personne entre le moment de la fin de sa garde à vue et celui de sa présentation devant le juge d'instruction (Zervudacki c. France, no 73947/01, § 47, 27 juillet 2006).
  • EGMR, 07.01.2010 - 41923/06

    ARIBAUD c. LUXEMBOURG

    La Cour rappelle que l'article 5 § 2 oblige les autorités à signaler à une telle personne, dans un langage simple et accessible pour elle, les raisons juridiques et factuelles de sa privation de liberté, afin qu'elle puisse en discuter la légalité devant un tribunal en vertu du paragraphe 4 (voir, parmi d'autres, Fox, Campbell et Hartley c. Royaume-Uni, 30 août 1990, § 40, série A no 182, § 40 ; Maire d'Eglise c. France, no 20335/04, § 59, 20 novembre 2008).
  • EGMR, 04.06.2013 - 5543/06

    STELIAN ROSCA c. ROUMANIE

    Il est donc essentiel, pour la Cour, que le droit interne soit prévisible dans son application et qu'il définisse clairement l'étendue des pouvoirs des autorités habilitées à ordonner une mesure privative de liberté ou à l'exécuter (mutatis mutandis, Zervudacki c. France, no 73947/01, § 43, 27 juillet 2006).
  • EGMR, 06.10.2015 - 28724/11

    ALOUACHE c. FRANCE

    En particulier, il est essentiel, en matière de privation de liberté, que le droit interne définisse clairement les conditions de détention et que la loi soit prévisible dans son application, en ce sens qu'elle doit être suffisamment précise pour permettre au citoyen de prévoir, à un degré raisonnable dans les circonstances de la cause, les conséquences de nature à dériver d'un acte déterminé (Erkalo c. Pays-Bas du 2 septembre 1998, Recueil 1998-VI, § 52, Baranowski, précité, § 52, Minjat c. Suisse, no 38223/97, § 40, 28 octobre 2003, et Zervudacki c. France, no 73947/01, § 43, 27 juillet 2006).
  • EGMR, 08.03.2007 - 20335/04

    X c. FRANCE

    Par conséquent, la Cour au vu de sa jurisprudence pertinente en l'espèce (voir notamment Zervudacki c. France, (déc.), no 73947/01, 28 juin 2005 et Selmouni c. France [GC], no 25803/94, CEDH 1999-V) constate que le requérant n'a pas épuisé les voies de recours internes.
Haben Sie eine Ergänzung? Oder haben Sie einen Fehler gefunden? Schreiben Sie uns.
Sie können auswählen (Maus oder Pfeiltasten):
(Liste aufgrund Ihrer bisherigen Eingabe)
Komplette Übersicht