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EGMR, 23.03.2004 - 55092/00 |
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Volltextveröffentlichung
- Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte
IORDACHE contre la ROUMANIE
Art. 6, Protokoll Nr. 1 Art. 1 MRK
Irrecevable (französisch)
Wird zitiert von ... (22) Neu Zitiert selbst (1)
- EGMR, 25.01.2000 - 34979/97
WALKER v. THE UNITED KINGDOM
Auszug aus EGMR, 23.03.2004 - 55092/00
Ainsi, elle marque la limite temporelle du contrôle exercé par la Cour et signale, à la fois aux individus et aux autorités de l'État, la période au-delà de laquelle ce contrôle n'est plus possible (voir Walker c. Royaume-Uni (déc.), no 34979/97, CEDH 2000-I).
- EGMR, 24.05.2011 - 27396/06
SABRI GÜNES c. TURQUIE
Ainsi, non seulement elle constitue un facteur de sécurité juridique (De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, 18 juin 1971, § 50, série A nº 12) mais aussi elle répond au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), nº 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 07.10.2021 - 49529/12
SYRIANOS c. GRÈCE
Cette règle constitue un facteur de sécurité juridique tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 26.03.2013 - 10425/09
ACATRINEI ET AUTRES c. ROUMANIE
La Cour rappelle que selon sa jurisprudence constante, s'agissant de décisions définitives qui ne sont pas signifiées aux parties, le point de départ du délai de six mois prévu dans l'article 35 § 1 de la Convention est la date à laquelle les parties peuvent prendre connaissance du contenu de la décision définitive, au plus tôt à partir de la mise au net de la décision (voir, entre autres, Papachelas c. Grèce [GC], no 31423/96, § 30, CEDH 1999-II, Ölmez c. Turquie, (déc.), no 39464/98, 20 février 2007, Iordache c. Roumanie, (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004, Ener Construction and Industry SA et autres c. Roumanie, (déc.), no 28977/06, 23 février 2010).
- EGMR, 04.06.2013 - 24267/07
RIFAT DEMIR c. TURQUIE
Cette règle marque la limite temporelle du contrôle exercé par la Cour et signale, à la fois aux individus et aux autorités de l'Etat, la période au-delà de laquelle ce contrôle n'est plus possible (voir, entre autres, Walker c. Royaume-Uni (déc.), no 34979/97, CEDH 2000-I, Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004, et Georgios Cheilas c. Grèce (déc.), no 9693/03, 12 mai 2005). - EGMR, 08.01.2013 - 37576/05
S.C. RAISA M. SHIPPING S.R.L. c. ROUMANIE
La Cour rappelle que lorsque la signification n'est pas prévue en droit interne, comme en l'espèce, il convient de prendre en considération la date à partir de laquelle les parties peuvent réellement prendre connaissance du contenu de la décision interne définitive (voir, parmi d'autres, Papachelas c. Grèce [GC], no 31423/96, § 30, CEDH 1999-II, Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, Elmaliotis et Konstantinidis c. Grèce, no 28819/04, § 26, 25 janvier 2007). - EGMR, 21.02.2017 - 18209/15
X c. GRÈCE
La Cour note en effet que cette règle, qui reflète le souhait des Parties contractantes de ne pas voir remettre en cause des décisions anciennes après un délai indéfini, sert les intérêts non seulement du Gouvernement mais aussi de la sécurité juridique en tant que valeur intrinsèque (De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, 18 juin 1971, § 50, série A no 12), tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 28.05.2013 - 63307/09
EFTHYMIOU ET AUTRES c. GRÈCE
La Cour rappelle en effet que cette règle, qui reflète le souhait des Parties contractantes de ne pas voir remettre en cause des décisions anciennes après un délai indéfini, sert les intérêts non seulement du Gouvernement mais aussi de la sécurité juridique en tant que valeur intrinsèque (voir De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, arrêt du 28 mai 1970, série A no 12, pp. 29-30, § 50), tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 24.10.2006 - 32141/04
KOSMIDIS ET AUTRES c. GRECE
Cette règle constitue un facteur de sécurité juridique (voir De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, arrêt du 28 mai 1970, série A no 12, pp. 29-30, § 50) tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 17.03.2005 - 40051/02
KEFALAS ET AUTRES c. GRECE
Cette règle constitue un facteur de sécurité juridique (voir De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, arrêt du 28 mai 1970, série A no 12, pp. 29-30, § 50) tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 14.10.2010 - 45312/07
TSOKOS c. GRECE
La Cour rappelle en effet que cette règle, qui reflète le souhait des Parties contractantes de ne pas voir remettre en cause des décisions anciennes après un délai indéfini, sert les intérêts non seulement du Gouvernement, mais aussi de la sécurité juridique en tant que valeur intrinsèque (voir De Wilde, Ooms et Versyp c. Belgique, arrêt du 28 mai 1970, série A no 12, pp. 29-30, § 50), tout en répondant également au besoin de laisser à l'intéressé un délai de réflexion suffisant pour lui permettre d'apprécier l'opportunité de présenter une requête à la Cour et pour en définir le contenu (Iordache c. Roumanie (déc.), no 55092/00, 23 mars 2004). - EGMR, 30.09.2008 - 34786/04
TEPE (AVCI) c. TURQUIE
- EGMR, 06.03.2008 - 903/06
GIKAS c. GRECE
- EGMR, 12.05.2005 - 36251/03
GALATALIS c. GRECE
- EGMR, 24.03.2005 - 38311/02
KAKAMOUKAS ET AUTRES contre la GRECE
- EGMR, 09.06.2005 - 43837/02
CASTREN-NINIOU c. GRECE
- EGMR, 09.06.2005 - 37673/02
DIAMANTIDES ET AUTRES c. GRECE
- EGMR, 02.12.2004 - 38682/02
KALLITSIS (N° 4) c. GRECE
- EGMR, 01.10.2013 - 63262/09
PATELAKI-MOSCHOU ET AUTRES c. GRÈCE
- EGMR, 28.05.2013 - 126/10
KORMAS c. GRÈCE
- EGMR, 20.01.2005 - 37806/02
ASTIKOS OIKODOMIKOS SYNETAIRISMOS NEA KONSTANTINOUPOLIS c. GRECE
- EGMR, 04.10.2007 - 12049/06
CENAJ c. GRECE ET ALBANIE
- EGMR, 10.03.2005 - 28451/02
KALOGEROPOULOS c. GRECE