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   EGMR, 13.07.2006 - 77575/01   

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EGMR, 13.07.2006 - 77575/01 (https://dejure.org/2006,68185)
EGMR, Entscheidung vom 13.07.2006 - 77575/01 (https://dejure.org/2006,68185)
EGMR, Entscheidung vom 13. Juli 2006 - 77575/01 (https://dejure.org/2006,68185)
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Volltextveröffentlichung

  • Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte

    FARANGE S.A. c. FRANCE

    Art. 6, Art. 6 Abs. 1, Art. 29, Art. 29 Abs. 3, Art. 41 MRK
    Violations de l'art. 6-1 Non-violation de l'art. 6-1 Dommage matériel - demande rejetée Préjudice moral - réparation pécuniaire Frais et dépens (procédure nationale) - demande rejetée Remboursement partiel frais et dépens - procédure de la Convention ...

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Wird zitiert von ... (2)Neu Zitiert selbst (5)

  • EGMR, 07.06.2001 - 39594/98

    KRESS c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 13.07.2006 - 77575/01
    Or, indépendamment du fait que, dans la majorité des cas, les conclusions du commissaire du gouvernement ne font pas l'objet d'un document écrit, la Cour relève qu'il ressort clairement du déroulement de la procédure devant le Conseil d'Etat que le commissaire du gouvernement présente ses conclusions pour la première fois oralement à l'audience publique de jugement de l'affaire et que tant les parties à l'instance que les juges et le public en découvrent le sens et le contenu à cette occasion (voir Kress c. France [GC], no 39594/98, § 29, CEDH 2001-VI).

    Le Gouvernement rappelle tout d'abord l'originalité de la situation du commissaire du gouvernement devant le Conseil d'Etat, spécificité reconnue par la Cour dans son arrêt Kress c. France ([GC], no 39594/98, CEDH 2001-VI).

  • EGMR, 27.06.2000 - 30979/96

    FRYDLENDER c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 13.07.2006 - 77575/01
    La Cour rappelle que le caractère raisonnable de la durée d'une procédure s'apprécie suivant les circonstances de la cause et eu égard aux critères consacrés par sa jurisprudence, en particulier la complexité de l'affaire, le comportement du requérant et celui des autorités compétentes ainsi que l'enjeu du litige pour l'intéressé (voir, parmi beaucoup d'autres, Frydlender c. France [GC], no 30979/96, § 43, CEDH 2000-VII).
  • EGMR, 28.07.1999 - 34884/97

    BOTTAZZI c. ITALIE

    Auszug aus EGMR, 13.07.2006 - 77575/01
    Selon la jurisprudence de la Cour, un requérant ne peut obtenir le remboursement de ses frais et dépens que dans la mesure où se trouvent établis leur réalité, leur nécessité et le caractère raisonnable de leur taux (voir, par exemple, Bottazzi c. Italie [GC], no 34884/97, § 30, CEDH 1999-V).
  • EGMR, 13.07.1983 - 8737/79

    Zimmermann und Steiner ./. Schweiz

    Auszug aus EGMR, 13.07.2006 - 77575/01
    La Cour rappelle que lorsqu'elle constate une violation de la Convention, la Cour peut accorder le paiement des frais et dépens exposés devant les juridictions internes, mais uniquement lorsqu'ils ont été engagés « pour prévenir ou faire corriger par celles-ci ladite violation » (voir, notamment, Zimmermann et Steiner c. Suisse, arrêt du 13 juillet 1983, série A no 66, § 36, et Bouilly c. France (no 2), no 57115/00, § 29, 24 juin 2003).
  • EGMR, 31.03.1992 - 18020/91

    X c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 13.07.2006 - 77575/01
    La Cour rappelle que la période à considérer sous l'angle du «délai raisonnable» de l'article 6 § 1 de la Convention débute à la date de la saisine de l'administration lorsqu'une telle démarche est un préalable nécessaire à la saisine du juge (voir, par exemple, X c. France, arrêt du 31 mars 1992, série A no 234-C, § 31, ainsi que Perhirin c. France, no 60545/00, 4 février 2003).
  • EGMR, 06.12.2011 - 41959/08

    ANASTASAKIS c. GRÈCE

    Si la Cour a constaté une violation de l'article 6 en raison du refus des juridictions de se prononcer dans un seul arrêt sur la question de l'indemnité revendiquée par le requérant et liée à la perte de son activité commerciale, elle ne saurait spéculer sur ce qu'aurait été la conclusion de la cour d'appel si elle avait statué explicitement et spécifiquement sur cette prétention du requérant (voir, mutatis mutandis, Leoni c. Italie, no 43269/98, § 32, 26 octobre 2000 ; Mortier c. France, no 42195/98, § 42, 31 juillet 2001 ; Farange S.A. c. France, no 77575/01, § 49, 13 juillet 2006).
  • EGMR, 28.11.2006 - 9818/03

    PHOTOTELEM c. FRANCE

    Dans ces conditions, la requérante ne saurait tirer du droit à l'égalité des armes reconnu par l'article 6 § 1 de la Convention le droit de se voir communiquer, préalablement à la séance, des observations qui ne l'ont pas été à l'autre partie à l'instance, ni au commissaire du gouvernement, ni aux membres du Conseil, de sorte qu'aucun manquement à l'égalité des armes ne se trouve établi en l'espèce (voir, mutatis mutandis, pour ce qui est des conclusions du commissaire du gouvernement présentées oralement et pour la première fois à l'audience publique devant le Conseil d'Etat, l'arrêt Kress c. France [GC], no 39594/98, § 29, CEDH 2001-VI et Farange S.A. c. France, no 77575/01, § 24, 13 juillet 2006 ; voir, pour ce qui est de l'absence de communication du rapport établi par le conseiller rapporteur au justiciable dans la procédure devant la Cour de cassation française, Pascolini c. France, no 45019/98, 26 juin 2003, Negouai c. France, no 67852/01, (déc.), 21 octobre 2003, et Lilly France c. France, no 53892/00, 14 octobre 2003).
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Rechtsprechung
   EGMR, 14.09.2004 - 77575/01   

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https://dejure.org/2004,45489
EGMR, 14.09.2004 - 77575/01 (https://dejure.org/2004,45489)
EGMR, Entscheidung vom 14.09.2004 - 77575/01 (https://dejure.org/2004,45489)
EGMR, Entscheidung vom 14. September 2004 - 77575/01 (https://dejure.org/2004,45489)
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Wird zitiert von ... (0)Neu Zitiert selbst (6)

  • EGMR, 13.06.1979 - 6833/74

    MARCKX v. BELGIUM

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    Il se borne à consacrer le droit de chacun au respect de «ses» biens et ne vaut par conséquent que pour des «biens actuels» (ibidem ; voir aussi, notamment, l'arrêt Markx c. Belgique du 13 juin 1979, série A no 31, § 50), c'est-à-dire des biens dont les droits y relatifs sont entrés dans le patrimoine de l'intéressé.

    Par ailleurs, dans l'hypothèse où la société requérante entend soutenir que, par leur attitude, les autorités ont fait obstacle à la réalisation des promesses de vente des 18 février et 27 mars 1991 et ont de la sorte méconnu l'article 1 du Protocole no 1, 1a Cour rappelle que cette disposition ne garantit pas le droit d'acquérir tel ou tel bien (voir, mutatis mutandis, l'arrêt Markx c. Belgique du 13 juin 1979, série A no 31, § 50 ; tel était également le point de vue de la Commission européenne des droits de l'Homme - voir son rapport dans l'affaire British-American Tobacco Company Ltd c. Pays-Bas, série A no 331, p. 37, § 71), sauf à démontrer - ce que la société requérante ne fait pas en l'espèce - qu'un tel droit est entré dans le patrimoine de l'intéressé (voir les arrêts Inze, précité, § 38, et Mazurek c. France, no 34406/97, 1er février 2000, CEDH 2000-II, § 24).

  • EGMR, 28.10.1987 - 8695/79

    Inze ./. Österreich

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    La Cour rappelle que l'article 1 du Protocole no 1 garantit en substance le droit de propriété (voir, par exemple, l'arrêt Inze c. Autriche du 28 octobre 1987, série A no 126, § 38).
  • EGMR, 21.01.1999 - 30544/96

    GARCÍA RUIZ v. SPAIN

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    Elle n'est donc pas compétente pour connaître des erreurs de fait ou de droit prétendument commises par une juridiction interne (voir l'arrêt Garcia Ruiz c. Espagne [GC], no 30544/96, § 28, CEDH 1999-I).
  • EGMR, 29.11.1991 - 12742/87

    PINE VALLEY DEVELOPMENTS LTD ET AUTRES c. IRLANDE

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    Ainsi, à supposer même qu'il puisse être considéré que la société requérante avait une «espérance légitime» de pouvoir réaliser son projet relatif à l'aménagement des terrains litigieux (voir, mutatis mutandis, l'arrêt Pine Valley Developments Ltd et autres c. Irlande du 29 novembre 1991, série A no 222, § 51), elle ne saurait soutenir, en l'absence d'un droit de propriété sur ceux-ci, que l'impossibilité, prétendument imputable aux autorités, de réaliser ce projet pose une question sous l'angle de l'article 1 du Protocole no 1.
  • EGMR, 01.02.2000 - 34406/97

    MAZUREK c. FRANCE

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    Par ailleurs, dans l'hypothèse où la société requérante entend soutenir que, par leur attitude, les autorités ont fait obstacle à la réalisation des promesses de vente des 18 février et 27 mars 1991 et ont de la sorte méconnu l'article 1 du Protocole no 1, 1a Cour rappelle que cette disposition ne garantit pas le droit d'acquérir tel ou tel bien (voir, mutatis mutandis, l'arrêt Markx c. Belgique du 13 juin 1979, série A no 31, § 50 ; tel était également le point de vue de la Commission européenne des droits de l'Homme - voir son rapport dans l'affaire British-American Tobacco Company Ltd c. Pays-Bas, série A no 331, p. 37, § 71), sauf à démontrer - ce que la société requérante ne fait pas en l'espèce - qu'un tel droit est entré dans le patrimoine de l'intéressé (voir les arrêts Inze, précité, § 38, et Mazurek c. France, no 34406/97, 1er février 2000, CEDH 2000-II, § 24).
  • EGMR, 20.11.1995 - 19589/92

    BRITISH-AMERICAN TOBACCO COMPANY LTD c. PAYS-BAS

    Auszug aus EGMR, 14.09.2004 - 77575/01
    Par ailleurs, dans l'hypothèse où la société requérante entend soutenir que, par leur attitude, les autorités ont fait obstacle à la réalisation des promesses de vente des 18 février et 27 mars 1991 et ont de la sorte méconnu l'article 1 du Protocole no 1, 1a Cour rappelle que cette disposition ne garantit pas le droit d'acquérir tel ou tel bien (voir, mutatis mutandis, l'arrêt Markx c. Belgique du 13 juin 1979, série A no 31, § 50 ; tel était également le point de vue de la Commission européenne des droits de l'Homme - voir son rapport dans l'affaire British-American Tobacco Company Ltd c. Pays-Bas, série A no 331, p. 37, § 71), sauf à démontrer - ce que la société requérante ne fait pas en l'espèce - qu'un tel droit est entré dans le patrimoine de l'intéressé (voir les arrêts Inze, précité, § 38, et Mazurek c. France, no 34406/97, 1er février 2000, CEDH 2000-II, § 24).
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