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Rechtsprechung
   EuG, 13.07.2017 - T-125/17 R   

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https://dejure.org/2017,24306
EuG, 13.07.2017 - T-125/17 R (https://dejure.org/2017,24306)
EuG, Entscheidung vom 13.07.2017 - T-125/17 R (https://dejure.org/2017,24306)
EuG, Entscheidung vom 13. Juli 2017 - T-125/17 R (https://dejure.org/2017,24306)
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Volltextveröffentlichung

Kurzfassungen/Presse (4)

  • Europäischer Gerichtshof PDF (Pressemitteilung)

    Forschung, Information, Bildung, Statistiken - Der Präsident des Gerichts der EU weist den Antrag auf vorläufigen Rechtsschutz von BASF Grenzach zu Triclosan, einem Konservierungsstoff für Kosmetika, zurück

  • Europäischer Gerichtshof (Tenor)

    BASF Grenzach / ECHA

    (fremdsprachig)

  • otto-schmidt.de (Kurzinformation)

    Vorläufiger Rechtsschutz: Verpflichtung zur Durchführung von Tierversuchen rechtmäßig

  • wolterskluwer-online.de (Kurzinformation)

    Durchführung von Tierversuchen

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Wird zitiert von ... (6)

  • EuG, 20.09.2019 - T-755/17

    Deutschland/ ECHA - REACH - Stoffbewertung - BENPAT - Persistenz - Entscheidung

    Bei einem Widerspruch gegen eine Entscheidung der ECHA, mit der im Rahmen der Stoffbewertung weitere Informationen angefordert werden, prüft die Widerspruchskammer in einem kontradiktorischen Verfahren aber lediglich, ob dargetan ist, dass die Entscheidung der ECHA fehlerhaft ist (vgl. in diesem Sinne heutiges Urteil, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, Rn. 59 bis 86).

    Vielmehr prüft die Widerspruchskammer in einem kontradiktorischen Verfahren lediglich, ob die Entscheidung der ECHA unter einem Fehler leidet (vgl. in diesem Sinne heutiges Urteil, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, Rn. 59 bis 86).

    93 Abs. 3 der Verordnung Nr. 1907/2006 räumt der Widerspruchskammer aber ein Ermessen ein (heutiges Urteil, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, Rn. 119).

    In diesem Zusammenhang hat die Widerspruchskammer auch dem 67. Erwägungsgrund der Verordnung Nr. 1907/2006 Rechnung zu tragen, wonach das Verfahren zur Dossier- und Stoffbewertung auf dem Grundsatz beruht, dass eine kollektive Einigung der Mitgliedstaaten bzw. der Mitgliedstaaten im Ausschuss der Mitgliedstaaten die Grundlage für ein effizientes System, das das Subsidiaritätsprinzip wahrt, sein soll (vgl. in diesem Sinne heutiges Urteil, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, Rn. 115 bis 120).

  • EuG, 23.02.2021 - T-656/20

    Symrise/ ECHA

    En revanche, il lui incombe de déterminer si le risque allégué par la requérante est prévisible avec un degré de probabilité suffisant ou s'il est de nature purement hypothétique, en ce qu'il est fondé sur la survenance d'événements futurs et incertains (ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 43).

    En effet, les actes des institutions de l'Union jouissent, en principe, d'une présomption de légalité et produisent, dès lors, des effets juridiques aussi longtemps qu'ils n'ont pas été retirés, annulés dans le cadre d'un recours en annulation ou déclarés invalides à la suite d'un renvoi préjudiciel ou d'une exception d'illégalité (voir ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 46 et jurisprudence citée).

    Ainsi que l'a jugé le Tribunal au point 47 de l'ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496), dans la mesure où la requérante est tenue par une décision individuelle émanant d'une agence de l'Union qui lui est adressée, en l'occurrence la décision attaquée, de procéder à une expérimentation animale, le fait de se conformer à cette exigence ne saurait engager sa responsabilité en raison d'un autre acte de l'Union de portée générale.

  • EuG, 23.02.2021 - T-655/20

    Symrise/ ECHA

    En revanche, il lui incombe de déterminer si le risque allégué par la requérante est prévisible avec un degré de probabilité suffisant ou s'il est de nature purement hypothétique, en ce qu'il est fondé sur la survenance d'événements futurs et incertains (ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 43).

    En effet, les actes des institutions de l'Union jouissent, en principe, d'une présomption de légalité et produisent, dès lors, des effets juridiques aussi longtemps qu'ils n'ont pas été retirés, annulés dans le cadre d'un recours en annulation ou déclarés invalides à la suite d'un renvoi préjudiciel ou d'une exception d'illégalité (voir ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 46 et jurisprudence citée).

    Ainsi que l'a jugé le Tribunal au point 47 de l'ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496), dans la mesure où la requérante est tenue par une décision individuelle émanant d'une agence de l'Union qui lui est adressée, en l'occurrence la décision attaquée, de procéder à une expérimentation animale, le fait de se conformer à cette exigence ne saurait engager sa responsabilité en raison d'un autre acte de l'Union de portée générale.

  • EuG, 22.06.2021 - T-207/21

    Polynt / ECHA

    Or, aussi longtemps qu'une décision émanant d'une institution de l'Union n'a pas été déclarée invalide par les juridictions de l'Union, les États membres et leurs organes ne sauraient adopter des mesures contraires à cette décision (voir ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 46 et jurisprudence citée).

    En effet, les actes des institutions de l'Union jouissent, en principe, d'une présomption de légalité et produisent, dès lors, des effets juridiques aussi longtemps qu'ils n'ont pas été retirés, annulés dans le cadre d'un recours en annulation ou déclarés invalides à la suite d'un renvoi préjudiciel ou d'une exception d'illégalité (voir ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 46 et jurisprudence citée).

    Ainsi que l'a jugé le Tribunal au point 47 de l'ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496), dans la mesure où la requérante est tenue par une décision individuelle émanant d'une agence de l'Union qui lui est adressée, en l'occurrence la décision attaquée, de procéder à une expérimentation animale, le fait de se conformer à cette exigence ne saurait engager sa responsabilité en raison d'un autre acte de l'Union de portée générale.

  • EuG, 20.09.2019 - T-125/17

    BASF Grenzach / ECHA

    Der Antrag auf vorläufigen Rechtsschutz wurde mit Beschluss vom 13. Juli 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17 R, nicht veröffentlicht, EU:T:2017:496), mit der Begründung zurückgewiesen, dass die Klägerin die Dringlichkeit nicht nachgewiesen hatte, und die Kostenentscheidung für dieses Verfahren ist vorbehalten geblieben.
  • EuG, 28.09.2017 - T-737/14

    Vnesheconombank / Rat

    Cette partie demeure, en tout état de cause, tenue de prouver les faits qui sont censés fonder la perspective d'un tel préjudice, étant entendu qu'un préjudice de nature purement hypothétique, en ce qu'il est fondé sur la survenance d'événements futurs et incertains, ne saurait justifier l'octroi de mesures provisoires (voir ordonnance du 13 juillet 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17 R, non publiée, EU:T:2017:496, point 30 et jurisprudence citée).
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Rechtsprechung
   EuG, 20.09.2019 - T-125/17   

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https://dejure.org/2019,30241
EuG, 20.09.2019 - T-125/17 (https://dejure.org/2019,30241)
EuG, Entscheidung vom 20.09.2019 - T-125/17 (https://dejure.org/2019,30241)
EuG, Entscheidung vom 20. September 2019 - T-125/17 (https://dejure.org/2019,30241)
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Volltextveröffentlichungen (2)

  • Europäischer Gerichtshof

    BASF Grenzach / ECHA

    REACH - Stoffbewertung - Triclosan - Entscheidung der ECHA, mit der weitere Informationen angefordert werden - Art. 51 Abs. 6 der Verordnung (EG) Nr. 1907/2006 - Widerspruch - Aufgabe der Widerspruchskammer - Kontradiktorisches Verfahren - Umfang der Kontrolle - ...

  • juris(Abodienst) (Volltext/Leitsatz)

Sonstiges (3)

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Wird zitiert von ... (7)Neu Zitiert selbst (8)

  • EuGH, 21.07.2011 - C-15/10

    Etimine - Umwelt und Schutz der menschlichen Gesundheit - Richtlinie 67/548/EWG -

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Bei solchen Beurteilungen wird durch den Unionsrichter lediglich geprüft, ob sie offensichtlich fehlerhaft sind oder einen Ermessensmissbrauch darstellen oder ob die betreffende Behörde die Grenzen ihres Ermessens offensichtlich überschritten hat (vgl. Urteil vom 21. Juli 2011, Etimine, C-15/10, EU:C:2011:504, Rn. 60 und die dort angeführte Rechtsprechung).

    Folglich ist insoweit die Kontrolle des Gerichts beschränkt (vgl. in diesem Sinne Urteil vom 21. Juli 2011, Etimine, C-15/10, EU:C:2011:504, Rn. 60 und die dort angeführte Rechtsprechung).

  • EuG, 23.09.2003 - T-308/01

    Henkel / OHMI - LHS (UK)

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Der Umfang der Prüfung, der die Beschwerdekammer die mit der Beschwerde angefochtene Entscheidung unterziehen muss, wird folglich grundsätzlich nicht durch die vom Beschwerdeführer geltend gemachten Beschwerdegründe bestimmt (Urteile vom 23. September 2003, Henkel/HABM - LHS [UK] [KLEENCARE], T-308/01, EU:T:2003:241, Rn. 26 und 29, sowie vom 16. März 2005, L'Oréal/HABM - Revlon [FLEXI AIR], T-112/03, EU:T:2005:102, Rn. 36).

    Nach dieser Rechtsprechung ergibt sich nämlich aus dieser Bestimmung nicht nur ein Hinweis zum Inhalt, den die Entscheidung einer Beschwerdekammer des EUIPO haben kann, sondern auch zum Umfang der Prüfung, der sie die mit der Beschwerde angefochtene Entscheidung zu unterziehen hat (Urteil vom 23. September 2003, KLEENCARE, T-308/01, EU:T:2003:241, Rn. 24).

  • EuG, 10.12.2009 - T-159/07

    Cofac / Kommission

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Insoweit ist darauf hinzuweisen, dass die Beachtung der Verteidigungsrechte es gebietet, dass die Adressaten von Entscheidungen, die ihre Interessen spürbar beeinträchtigen können, in die Lage versetzt werden, ihren Standpunkt zu den ihnen zur Last gelegten Umständen, auf die sich diese Entscheidung stützt, in sachdienlicher Weise vorzutragen (Urteil vom 10. Dezember 2009, Cofac/Kommission, T-159/07, nicht veröffentlicht, EU:T:2009:490, Rn. 33).
  • EuGH, 13.03.2007 - C-29/05

    HABM / Kaul - Rechtsmittel - Gemeinschaftsmarke - Widerspruchsverfahren -

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Als Drittes ist zum Vorbringen der Klägerin betreffend die Rechtsprechung zu den Beschwerdekammern des EUIPO darauf hinzuweisen, dass zwar nach der Rechtsprechung die Beschwerdekammer des EUIPO durch die Wirkung der bei ihr anhängig gemachten Beschwerde damit betraut wird, eine vollständige neue Prüfung der Begründetheit des Antrags oder des Rechtsstreits, mit dem die Stelle, die im ersten Rechtszug entschieden hat, befasst war, sowohl in rechtlicher als auch in tatsächlicher Hinsicht vorzunehmen (vgl. in diesem Sinne Urteil vom 13. März 2007, HABM/Kaul, C-29/05 P, EU:C:2007:162, Rn. 57).
  • EuG, 13.07.2017 - T-125/17

    Der Präsident des Gerichts der EU weist den Antrag auf vorläufigen Rechtsschutz

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Der Antrag auf vorläufigen Rechtsschutz wurde mit Beschluss vom 13. Juli 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17 R, nicht veröffentlicht, EU:T:2017:496), mit der Begründung zurückgewiesen, dass die Klägerin die Dringlichkeit nicht nachgewiesen hatte, und die Kostenentscheidung für dieses Verfahren ist vorbehalten geblieben.
  • EuGH, 28.05.2018 - C-565/17

    BASF Grenzach/ ECHA

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Das Rechtsmittel gegen diesen Beschluss ist mit Beschluss vom 28. Mai 2018, BASF Grenzach/ECHA (C-565/17 P[R], nicht veröffentlicht, EU:C:2018:340), zurückgewiesen worden.
  • EuG, 12.12.2017 - T-125/17

    BASF Grenzach / ECHA

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Dieser Antrag ist mit Beschluss vom 12. Dezember 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2017:931), zurückgewiesen worden.
  • EuG, 16.03.2005 - T-112/03

    'L''Oréal / OHMI - Revlon (FLEXI AIR)'

    Auszug aus EuG, 20.09.2019 - T-125/17
    Der Umfang der Prüfung, der die Beschwerdekammer die mit der Beschwerde angefochtene Entscheidung unterziehen muss, wird folglich grundsätzlich nicht durch die vom Beschwerdeführer geltend gemachten Beschwerdegründe bestimmt (Urteile vom 23. September 2003, Henkel/HABM - LHS [UK] [KLEENCARE], T-308/01, EU:T:2003:241, Rn. 26 und 29, sowie vom 16. März 2005, L'Oréal/HABM - Revlon [FLEXI AIR], T-112/03, EU:T:2005:102, Rn. 36).
  • EuG, 18.11.2020 - T-735/18

    Aquind/ ACER

    (vgl. entsprechend Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 66 und 118).

    U. a. ist in Bezug auf die Widerspruchskammer der ECHA bereits entschieden worden, dass die Kontrolle dieser Widerspruchskammer bei wissenschaftlichen Beurteilungen, die in einer Entscheidung der ECHA enthalten sind, nicht auf offensichtliche Fehler beschränkt ist, sondern dass diese Kammer vielmehr auf der Grundlage des juristischen und wissenschaftlichen Sachverstands ihrer Mitglieder zu prüfen hat, ob der Widerspruchsführer dargetan hat, dass die Erwägungen, auf die die Entscheidung der ECHA gestützt worden ist, fehlerhaft waren (Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 87 bis 89).

    Der Beschwerdeausschuss kontrolliert somit intensiver als die Unionsgerichte (vgl. entsprechend Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 124).

    Insoweit ist anzumerken, dass die ACER in Beantwortung der prozessleitenden Maßnahme vom 23. April 2020, mit der die Parteien dazu aufgefordert wurden, zu den Rn. 87 bis 89 und 124 des Urteils vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17, EU:T:2019:638), Stellung zu nehmen, in der mündlichen Verhandlung geltend gemacht hat, dass diese Rechtsprechung nicht auf den Beschwerdeausschuss übertragbar sei, der sich von der Widerspruchskammer der ECHA fundamental unterscheide.

    Sie regelt hingegen nicht den Umfang der Kontrolle, die dieser Ausschuss in Bezug auf die Begründetheit einer Beschwerde ausübt (vgl. entsprechend Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 66 und 118).

  • Generalanwalt beim EuGH, 15.09.2022 - C-46/21

    ACER/ Aquind - Rechtsmittel - Energie - Verordnung (EG) Nr. 713/2009 -

    4 Betreffend die Widerspruchskammer der Europäischen Chemikalienagentur (ECHA) vgl. Urteile des Gerichts vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17, EU:T:2019:638), und Deutschland/ECHA (T-755/17, EU:T:2019:647).

    45 "U. a. ist in Bezug auf die Widerspruchskammer der ECHA bereits entschieden worden, dass die Kontrolle dieser Widerspruchskammer bei wissenschaftlichen Beurteilungen, die in einer Entscheidung der ECHA enthalten sind, nicht auf offensichtliche Fehler beschränkt ist, sondern dass diese Kammer vielmehr auf der Grundlage des juristischen und wissenschaftlichen Sachverstands ihrer Mitglieder zu prüfen hat, ob der Widerspruchsführer dargetan hat, dass die Erwägungen, auf die die Entscheidung der ECHA gestützt worden ist, fehlerhaft waren (Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 87 bis 89).

    Der Beschwerdeausschuss kontrolliert somit intensiver als die Unionsgerichte (vgl. entsprechend Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 124).".

  • EuG, 22.11.2023 - T-655/20

    Symrise/ ECHA

    Partant, cet argument doit être rejeté comme étant irrecevable (voir, en ce sens, arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 475).

    Partant, dans le cadre d'un tel recours, la partie requérante ne peut pas se limiter à faire valoir que le résultat de l'évaluation sur lequel est fondée ladite décision aurait dû être différent, mais il lui incombe d'avancer des arguments visant à démontrer l'existence d'erreurs entachant l'évaluation scientifique sur laquelle est fondée la décision en question (arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 86).

    Au contraire, à cet égard, en se fondant sur les compétences juridiques et scientifiques de ses membres, la chambre de recours doit examiner si les arguments avancés par la partie requérante sont susceptibles de démontrer que les considérations sur lesquelles la décision de l'ECHA est fondée sont entachées d'erreurs (arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 89).

  • EuG, 22.11.2023 - T-656/20

    Symrise/ ECHA

    Partant, cet argument doit être rejeté comme étant irrecevable (voir, en ce sens, arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 475).

    Partant, dans le cadre d'un tel recours, la partie requérante ne peut pas se limiter à faire valoir que le résultat de l'évaluation sur lequel est fondée ladite décision aurait dû être différent, mais il lui incombe d'avancer des arguments visant à démontrer l'existence d'erreurs entachant l'évaluation scientifique sur laquelle est fondée la décision en question (arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 86).

    Au contraire, à cet égard, en se fondant sur les compétences juridiques et scientifiques de ses membres, la chambre de recours doit examiner si les arguments avancés par la partie requérante sont susceptibles de démontrer que les considérations sur lesquelles la décision de l'ECHA est fondée sont entachées d'erreurs (arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 89).

  • EuG, 28.06.2023 - T-207/21

    Polynt / ECHA

    D'une part, alors qu'une telle référence paraît inappropriée dans les circonstances de l'espèce, force est de constater que la première phrase de ces mêmes points a renvoyé également au point 89 de l'arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17, EU:T:2019:638), lequel avait précisé que le contrôle, par la chambre de recours, des appréciations d'ordre scientifique figurant dans une décision de l'ECHA n'était pas limité à la vérification de l'existence d'erreurs manifestes.

    Au contraire, à cet égard, en se fondant sur les compétences juridiques et scientifiques de ses membres, ladite chambre doit examiner si les arguments avancés par la partie requérante sont susceptibles de démontrer que les considérations sur lesquelles ladite décision de l'ECHA est fondée sont entachées d'erreurs (arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 89).

    En effet, s'agissant de telles appréciations, le juge de l'Union se limite à contrôler si elles sont entachées d'une erreur manifeste, d'un détournement de pouvoir ou si l'auteur de la décision a manifestement dépassé les limites de son pouvoir d'appréciation (voir, en ce sens, arrêt du 20 septembre 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, point 87).

  • EuG, 29.03.2023 - T-868/19

    Nouryon Industrial Chemicals u.a./ Kommission

    Soweit es, wie möglicherweise im vorliegenden Fall, um die Beurteilungen hochkomplexer wissenschaftlicher und technischer tatsächlicher Umstände geht, besteht nach der Rechtsprechung die Kontrolle durch den Unionsrichter bei einer Nichtigkeitsklage gemäß Art. 263 AEUV darin, zu prüfen, ob diese Beurteilungen offensichtlich fehlerhaft sind oder einen Ermessensmissbrauch darstellen oder ob die betreffende Behörde die Grenzen ihres Ermessens offensichtlich überschritten hat (vgl. Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 87 und die dort angeführte Rechtsprechung; vgl. ebenfalls in diesem Sinne Urteil vom 15. Oktober 2009, Enviro Tech [Europe], C-425/08, EU:C:2009:635, Rn. 47).

    Aus diesem Grund hat der Unionsgesetzgeber darauf geachtet, dass in der Widerspruchskammer Personen mitwirken, die über den für diese erneute Beurteilung erforderlichen technischen und wissenschaftlichen Sachverstand verfügen, und deswegen unterscheidet sich die Überprüfung durch die Widerspruchskammer bei zuvor innerhalb der ECHA vorgenommenen wissenschaftlichen und technischen Beurteilungen ihrem Wesen nach von einer Kontrolle durch den Unionsrichter (vgl. in diesem Sinne Urteile vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 88 und 89, sowie vom 20. September 2019, Deutschland/ECHA, T-755/17, EU:T:2019:647, Rn. 55).

  • EuGH, 09.03.2023 - C-46/21

    ACER/ Aquind

    Hierzu hat das Gericht in Rn. 61 des angefochtenen Urteils ausgeführt, dass in Bezug auf die Widerspruchskammer der ECHA bereits entschieden worden sei, dass die Kontrolle dieser Widerspruchskammer bei wissenschaftlichen Beurteilungen, die in einer Entscheidung der ECHA enthalten seien, nicht auf offensichtliche Fehler beschränkt sei, sondern dass die Widerspruchskammer vielmehr auf der Grundlage des juristischen und wissenschaftlichen Sachverstands ihrer Mitglieder zu prüfen habe, ob der Widerspruchsführer es vermocht habe, darzutun, dass die Erwägungen, auf die die Entscheidung der ECHA gestützt worden sei, fehlerhaft gewesen seien; der Beschwerdeausschuss kontrolliere somit intensiver als die Unionsgerichte (vgl. in diesem Sinne Urteil vom 20. September 2019, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, EU:T:2019:638, Rn. 87 bis 89 und 124).
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   EuG, 23.11.2017 - T-125/17   

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  • EuG, 26.02.2007 - T-125/03

    Akzo Nobel Chemicals und Akcros Chemicals / Kommission

    Auszug aus EuG, 12.12.2017 - T-125/17
    En premier lieu, afin de démontrer son intérêt à la solution du litige, PISC s'appuie expressément sur les considérations développées par le Tribunal au point 14 de l'ordonnance du 26 février 2007, Akzo Nobel Chemicals et Akcros Chemicals/Commission, T-125/03, non publiée, EU:T:2007:57.

    Plus particulièrement, une association peut être admise à intervenir dans une affaire si elle est représentative d'un nombre important d'opérateurs actifs dans le secteur concerné, ses objets incluent celui de la protection des intérêts de ses membres, l'affaire peut soulever des questions de principe affectant le fonctionnement du secteur concerné et, donc, les intérêts de ses membres peuvent être affectés dans une mesure importante par l'arrêt à intervenir (ordonnance du 26 février 2007, Akzo Nobel Chemicals et Akcros Chemicals/Commission, T-125/03, non publiée, EU:T:2007:57, point 14 et jurisprudence citée).

  • EuG, 21.10.2014 - T-429/13

    Bayer CropScience / Kommission - Streithilfe - Berechtigtes Interesse am Ausgang

    Auszug aus EuG, 12.12.2017 - T-125/17
    Il convient, notamment, de vérifier que la partie intervenante est touchée directement par l'acte attaqué et que son intérêt à la solution du litige est certain (ordonnance du 21 octobre 2014, Bayer CropScience/ Commission, T-429/13, EU:T:2014:920, point 21 et jurisprudence citée).

    Deuxièmement, selon la jurisprudence, s'agissant des demandes d'intervention présentées par des organisations de défense de l'environnement, l'exigence d'un intérêt direct et actuel à la solution du litige implique soit que leur champ d'action coïncide avec la région et le secteur concernés par la procédure devant le Tribunal, soit, lorsqu'elles ont des champs d'action plus larges, qu'elles soient activement impliquées dans des programmes de protection ou d'études concernant la région et le secteur concernés dont la viabilité pourrait être compromise par l'adoption de l'acte attaqué (ordonnance du 21 octobre 2014, Bayer CropScience/Commission, T-429/13, EU:T:2014:920, point 73 et jurisprudence citée).

  • EuGH, 06.10.2015 - C-362/15

    Etairia Larymnis Larko / Larko und Kommission - Rechtsmittel - Streithilfe -

    Auszug aus EuG, 12.12.2017 - T-125/17
    De plus, il convient de préciser que, en principe, un intérêt à la solution du litige ne saurait être considéré comme suffisamment direct que dans la mesure où cette solution est de nature à modifier la position juridique du demandeur en intervention (ordonnance du vice-président de la Cour du 6 octobre 2015, Metalleftiki kai Metallourgiki Etairia Larymnis Larko/Commission, C-362/15 P(I), EU:C:2015:682, point 7).
  • EuG, 27.10.2020 - T-868/19

    Nouryon Industrial Chemicals u.a./ Kommission

    La Commission se réfère sur ce point à l'ordonnance du 12 décembre 2017, BASF Grenzach/ECHA, (T-125/17, non publiée, EU:T:2017:931).

    Le fait que PISC intervient de longue date dans les affaires devant la chambre de recours de l'ECHA pour veiller à ce que l'expérimentation animale ne soit effectuée que s'il n'existait aucune autre solution est trop général et ne suffit dès lors pas pour démontrer une préoccupation spécifique concernant l'oxyde de diméthyle (voir, en ce sens, ordonnance du 12 décembre 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, non publiée, EU:T:2017:931, point 24).

    Dans le cadre de l'évaluation de l'oxyde de diméthyle, PISC n'était même pas présent lors de la réunion du comité des États membres de l'ECHA, au cours de laquelle s'est tenue la discussion au sujet de cette substance (voir, en ce sens, ordonnance du 12 décembre 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, non publiée, EU:T:2017:931, point 25).

    Dans ces conditions, en l'absence d'éléments démontrant une activité spécifique liée à la substance en cause dans l'Union européenne, il ne peut pas être conclu à l'existence d'un intérêt de PISC à la solution du présent litige sous l'angle des critères prévus dans la jurisprudence relative à l'intérêt à intervenir des organisations de défense de l'environnement (voir, en ce sens, ordonnance du 12 décembre 2017, BASF Grenzach/ECHA, T-125/17, non publiée, EU:T:2017:931, point 26).

    Du reste, comme le Tribunal l'a rappelé aux points 19 et 20 de l'ordonnance du 12 décembre 2017, BASF Grenzach/ECHA, (T-125/17, non publiée, EU:T:2017:931), si est admise, aux termes de la jurisprudence, l'intervention d'associations représentatives qui ont pour objet la protection de leurs membres (ordonnance du 26 février 2007, Akzo Nobel Chemicals et Akcros Chemicals/Commission, T-125/03, non publiée, EU:T:2007:57, point 14 et jurisprudence citée), ce cas de figure vise les associations dites « professionnelles ".

  • EuG, 20.09.2019 - T-125/17

    BASF Grenzach / ECHA

    Dieser Antrag ist mit Beschluss vom 12. Dezember 2017, BASF Grenzach/ECHA (T-125/17, nicht veröffentlicht, EU:T:2017:931), zurückgewiesen worden.
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